Joël GIRAUD

Interdiction d’affichage à la RATP du concert des Prêtres pour les Chrétiens d’Orient Joël Giraud saisit Manuel Valls, Laurent Fabius et Ségolène Royal en séance à l’Assemblée Nationale

Stupéfait par le refus de la RATP, au nom du principe de laïcité, d’afficher le concert des Prêtres en faveur de la cause des Chrétiens d’Orient, victimes pour le député d’un génocide, Joël Giraud a demandé que la RATP revienne sur sa décision qui pour lui relève de l’intégrisme laïc et dessert la cause de la laïcité que son parti et lui-même défendent farouchement.

P.J. : les trois courriers de Joël Giraud au Premier Ministre, au Ministre des Affaires Etrangères et du Développement International et à la Ministre de l’Ecologie, du développement Durable et de l’Energie, ministre de tutelle (transports).

Lire les courriers : Téléchargement Courriers ratp

Loi santé : Joël GIRAUD dépose des amendements sur les hôpitaux transfrontaliers, à forte saisonnalité touristique, et isolés

Les débats relatifs à la loi santé, dont on a jusqu’alors surtout retenu la polémique sur la généralisation du tiers payant, débutent la semaine prochaine à l’Assemblée Nationale.

Le député PRG des Hautes-Alpes Joël GIRAUD et son groupe (RRDP) ont déposé une série d’amendements demandant la prise en compte dans les schémas régionaux de l’organisation sanitaire (SROS) :

-         du caractère transfrontalier des territoires,

-         de la saisonnalité liée à l’activité touristique.

Il a également déposé un amendement prévoyant que dans tout hôpital situé à plus d’une heure de route d’un centre hospitalier disposant d’un service de réanimation et de ce fait très isolé, un service de réanimation adapté au territoire soit obligatoire.

Des amendements qui ressemblent à s’y méprendre à la situation du centre hospitalier des Escartons à Briançon !

Tribune : « Règle d’or » : il faut sauver le soldat SNCF Réseau, par Pierre Cardo, président de l'Araf

La définition d’une trajectoire financière destinée à maîtriser l’évolution de la dette de SNCF Réseau est un point clé de la réforme ferroviaire. Cette volonté du gouvernement et du législateur est non seulement louable, mais indispensable si l’on veut éviter que notre système ferroviaire n’explose sous le poids de son endettement.

Il est urgent d’agir. La dette financière nette du gestionnaire d’infrastructure a atteint plus de 37 milliards d’euros en 2014, une progression de 3 milliards par rapport à 2013. Chacun peut facilement imaginer que cette évolution ne peut être durablement soutenue. 

La réforme ferroviaire a le mérite de chercher à instaurer un garde-fou en renforçant les règles d’encadrement du financement des investissements de développement du réseau ferré. Le législateur a souhaité que SNCF Réseau ne s’endette pas pour financer de nouvelles lignes ou pour des travaux hors maintenance du réseau, si ces investissements dépassent certains ratios financiers. Le Parlement avait clairement exprimé sa volonté de définir ces ratios, et d’en arrêter les seuils.

Depuis, le projet de loi Macron prévoit de ne retenir qu’un seul ratio : le rapport entre la dette nette et la marge opérationnelle de SNCF Réseau. Et de fixer la valeur du seuil plafond par décret. Un amendement voté le 19 mars en commission spéciale au Sénat vise un taux plafond de 25. Contre environ 17, sur la base des comptes de l’exercice 2014 de SNCF Réseau publiés en février. 

Cela laisse supposer que le législateur, devant la lourde charge financière liée à la nécessaire modernisation du réseau et au financement des lignes nouvelles, souhaite assouplir la « règle d’or » qui contraint l’État et les collectivités territoriales à cofinancer les LGV, entre autres, afin de freiner l’endettement ferroviaire. L’effort d’investissement sera inévitablement reporté sur la capacité d’endettement de SNCF Réseau.

Le régulateur, à qui le gouvernement et le Parlement ont demandé de veiller aux contraintes financières du système ferroviaire, sera vigilant. Le possible retour à l’équilibre financier et l’avenir du ferroviaire en France dépendent des décisions politiques à venir. 

Joël GIRAUD en mission pour l’irrigation en montagne

Depuis plusieurs années, depuis même son premier mandat, le député radical de gauche Joël GIRAUD attire au mieux les sourires convenus de ses collègues élus des grandes métropoles et des plaines voire même les moqueries de certains mais il fait l'unanimité sur tous les bancs des députés de montagne en défendant les spécificités de l'irrigation en montagne.
Les ministres de l'agriculture et ceux de l'environnement se sont succédés sous les gouvernements de François FILLON, Dominique de VILLEPIN, Jean-Marc AYRAULT… sans que le député-maire de L'Argentière n'arrive à faire entendre la voix de la montagne mais cette fois, il a été écouté et entendu et le gouvernement a choisi une procédure à la fois rare et lourde pour que le dossier soit instruit, celle de parlementaire en mission, avec nomination par le Premier Ministre publiée au Journal Officiel, placement en mission auprès de la Ministre de l'Ecologie et plus encore les moyens de l'Agence de l'Eau et du Conseil General du Développement Durable à disposition pour enfin sortir de l'anonymat ces thèmes prioritaires pour la vie en montagne : l'irrigation gravitaire, les fontaines publiques, les débits réservés. Ce sont des chantiers  qui impactent l'agriculture, la ressource en eau, la biodiversité et les risques naturels

Pour Joël GIRAUD : «  il y a au gouvernement des ministres qui écoutent et ne font pas qu'ânonner les fiches techniques qu'on leur tend. Ségolène ROYAL est de ces ministres qui ont de la considération pour les parlementaires et qui prennent des décisions. Les débats budgétaires fin 2014, où j'étais intervenu fortement après avoir fait rencontrer les acteurs de cette filière à Ségolène ROYAL lors de sa visite à Vallouise l'été dernier l'ont convaincu que ce sujet n'était pas à laisser en friche. Ségolène ROYAL vient à l'écoute des territoires quand elle se déplace et ce n'est pas qu'une posture ».

L’inquiétude est,  qu'à terme, à cause de la loi sur l'eau, nous n'ayons plus de canaux d'irrigation gérés collectivement par des bénévoles car les contraintes administratives et financières sont incompatibles avec ce mode ancestral de gestion économe de la ressource en eau, mais aussi de voir fermer toutes les fontaines publiques qui font le charme de nos villages car l'eau qui y coule fait l'objet d'une redevance alors que dans les deux cas, cette eau est rendue au milieu naturel. Il s'y ajoute le problème des débits réservés où il faut trouver une solution définitive pour que certaines filières (arboriculture en premier lieu) ne soient pas la victime économique de mesures nationales inadaptées.

Pour mener à bien cette mission,  il y aura beaucoup de visites de terrain, le lieu auquel on doit toujours penser en légiférant. Et du Valgaudemar à l’Embrunais , du Buëch au Briançonnais mais aussi ailleurs dans la France des Massifs, le Président du Conseil National de la Montagne sera  sur le terrain.

Lors de sa visite au Parc National des Ecrins, Joël Giraud avait organisé une rencontre entre Ségolène ROYAL et Gilbert TAVAN Président de la Fédération des Irrigants Hauts-Alpins.

Téléchargement Lettre mission irrigation JOEL GIRAUD signée 160315

Téléchargement Décret mission irrigation JGIRAUD17032015

Article de Joël GIRAUD dans POLITIQUE MATIN : Présidentielle : les Français sont prêts à élire une femme

Joël Giraud Paroles Libres 20-03-2015

Si 90 % des français se déclarent prêts à élire une femme à la tête de l’État, c’est parce qu’on a demandé leur opinion à ce sujet. Et le fait qu’on les questionne à ce propos est en soi un symptôme d’immaturité politique. Imagine-t-on un instant qu’une telle question puisse être posée dans la plupart des démocraties – occidentales ou pas- ailleurs sur la planète ?

Une femme au pouvoir : le chemin reste long en France

Certainement pas car dans l’immense majorité des démocraties, la question ne se pose même pas. C’est là sans doute une des facettes de l’exception culturelle française. La première femme chef de gouvernement, Édith Cresson, y a été brocardée, moquée… à telle enseigne que plus une seule femme en France n’a été premier ministre. Et lorsque les Français déclarent leur flamme à une femme politique, Simone Veil, Ségolène Royal… les appareils de leurs propres formations politiques ne font-ils pas tout pour que son ascension vers les sommets soit entravée d’embuches qu’un homme n’aurait jamais trouvé sur son chemin.

 

Plus idôlatrée qu'élue

La femme en France est plus facilement idolâtrée qu’élue et les lois imposant la parité s’y succèdent, à défaut de pouvoir l’imposer naturellement dans les mœurs, la société. Ce qui est une réalité dans les tâches ménagères l’est aussi sur le plan politique. En ce sens, il n’est pas étonnant que Christine Lagarde ou Marine Le Pen soient citées car elles relèvent de cette logique d’idolâtrie. La première pour sa parole économique, la deuxième pour sa parole ou plutôt ses aboiements contre le système, de plus au sein d’un parti où l’on aime par construction le "caudillo" … quelque soit son sexe.

La femme, marqueur de stabilité politique

On est loin de la logique qui prévaut pour l’élection d’une Angela Merkel où la question n’ est pas pour les allemands qu’elle soit une femme mais surtout un marqueur de stabilité, de sérieux et de probité dans un pays qui pousse ces vertus à l’extrême. Mais le pays qui a inventé la loi salique pour qu’aucune femme ne puisse succéder au trône de France et qui, se définissant comme "la fille ainée de l’église (catholique)" en a suivi les mêmes principes d’exclusion de la femme de toute responsabilité mettra à mon avis encore du temps à ne pas avoir le réflexe, au dernier moment, de mettre un bulletin masculin dans l’urne lorsqu’il ou elle- un paradoxe de plus- aura le choix. Sans le savoir, les français relisent dans les urnes Thomas d’Aquin où la finalité de l’égalité homme- femme ne peut se réaliser que dans la gloire éternelle donc après la vie terrestre !!

http://www.politiquematin.fr/presidentielle-election-femme-france-marinelepen-18113

communiqué de presse de François ASENSI député du groupe Gauche démocrate et républicaine de Seine Saint Denis : L’Etat doit garantir la pérennité des lignes de train desservant Briançon et toute la vallée de la Durance

Lors de la séance des questions orales du jeudi 26 mars sans débat, François Asensi a interrogé le secrétaire d’Etat aux Transports Alain Vidalies  sur le risque de suppression des lignes de transports ferroviaires desservant Briançon et toute la vallée de la Durance (train de nuit Paris-Briançon et train express régional Valence-Briançon).
Les crédits nécessaires à la rénovation de la ligne TER Valence-Briançon n’ont toujours pas été inscrits dans le contrat de plan Etat-région. Or, sans investissements pour rénover le réseau, il est fort probable que les jours de cette ligne soient comptés.
Le train de nuit Paris-Briançon, particulièrement prisé des vacanciers, est lui aussi dans l’œil du cyclone. A ce jour, des trains de nuit ont déjà été supprimés et les nouvelles motrices promises par la SNCF pour 2014 n’ont toujours pas été mises en service. Tout cela augure du pire pour cette ligne indispensable à l’économie et au désenclavement de la vallée de la Durance.
Dans ce contexte, le vote en première lecture de la loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances (loi « Macron »), qui libéralise la création de sociétés privées d’autocar, renforce l’inquiétude des habitants de la Vallée de la Durance.
La remise en cause d’un service ferroviaire de qualité jusqu’à Briançon aurait des effets désastreux, sur le plan économique, touristique, social et environnemental. Le train de nuit transporte 116 000 voyageurs par an. Il permet  aux vacanciers d’accéder facilement aux stations de sport d’hiver situées dans la vallée de la Vallouise-Pellevoux, la vallée de la Guisane, le Queyras,  la station des Orres, de Vars-Risoul ou le pays de Montgenèvre.
La ligne de TER est tout aussi vitale pour les habitants de la vallée de la Durance, pour leur permettre d’accéder aux bassins d’emplois, aux services publics, aux collèges et lycées de la région. Cette ligne constitue un véritable trait d’union entre les communes de la Vallée. La supprimer ne ferait que renforcer les inégalités territoriales entre ce territoire périphérique et le reste de la France.
Face à l’inquiétude des habitants, des élus et des professionnels du tourisme, l’Etat doit absolument garantir la pérennité des liaisons ferroviaires desservant Briançon en engageant les moyens nécessaires à la modernisation de ces lignes.

Ecouter :  http://youtu.be/019TZZYpfSs

Téléchargement QOSD_François Asensi_Avenir de la desserte ferroviaire de Briançon 260315

Embrun : malgré l’offensive du député Joël GIRAUD, le CAP ébénisterie fermera car le Conseil Régional a voté à l’unanimité cette fermeture

Joël GIRAUD, député des Hautes-Alpes, s’est retrouvé bien seul dans l’hémicycle pour défendre un moratoire sur la fermeture du CAP d’ébénisterie du lycée Alpes et Durance d’Embrun.

En effet, après que le gouvernement ai rappelé l’effondrement des effectifs de cette section et l’ouverture dans le même établissement d’un BTS systèmes constructifs bois et habitat, une nouvelle formation qualifiante au rayonnement intra-académique, voire national, le Ministre délégué à la Réforme de l’État a précisé que revenir en arrière était impossible dans la mesure où le Conseil Régional avait voté à l’unanimité cette mesure le 20 février dernier en assemblée plénière.

Plutôt sonné par cette nouvelle, le député des Hautes-Alpes n’a pu qu’insister sur le fait que l’attitude du rectorat d’Aix Marseille qui n’avait pas assuré la promotion de ce CAP comme le fait le rectorat de Grenoble pour les CAP dispensés à Aubenas (Ardèche) et Bourgoin-Jallieu (Isère) devait porter plus d’attention aux départements alpins qu’il avait déjà totalement méprisé lors de la réforme de la carte d’éducation prioritaire. Joël GIRAUD n’a pu que constater que l’argument du Ministre était véridique : le 20 février, tous les groupes politiques, Europe Ecologie, le groupe Socialiste, le Front de Gauche et le groupe Notre Région (UMP/UDI) dont est membre Madame le Maire d’Embrun qui a bien pris part au vote , ont voté en faveur de la fermeture de ce CAP.

La délibération (en pièce jointe) était pourtant très claire. Le combat pour le maintien du CAP ébénisterie s’arrête donc brutalement mais le député Joël GIRAUD indique qu’il reviendra à la charge pour que l’année prochaine « la formation à l’ébénisterie revienne sous la forme d’un CAP ou une autre dans le département des Hautes-Alpes afin que ses élèves n’aient pas à faire 300 kms vers un lycée marseillais dépourvu d’internat ».

Ecouter l’intervention : http://youtu.be/xFLdKbsjXlc

Téléchargement Délib CR PACA CAP ébénisterie 200215

Téléchargement Compte rendu QOSD JGIRAUD CAP ébénisterie 260315Séance du jeudi 26 mars 2015

 

RN 85 : 12 millions d’euros côté PACA mais le compte n’y est pas côte Rhône-Alpes : le gouvernement va demander aux deux Préfets de Région de fournir une liste hiérarchisée de priorités et réviser l’enveloppe en Rhône-Alpes à mi-parcours

Marie- Noëlle BATTISTEL, député socialiste de l’Isère, symboliquement assises aux côtés de son collègue Joël GIRAUD, député PRG des Hautes-Alpes, a posé une question en leurs deux noms sur la modernisation de la RN 85 Gap-Grenoble, promise lors de l’abandon de l’A 51. Le Ministre des Transports, Alain VIDALIES, rappelant également le rôle de l’ex RN 75 Sisteron-Grenoble dans le schéma de desserte des Alpes du Sud  et du Sud Isère s’est félicité de la dynamique côté Hautes-Alpes puisque 12 millions d’euros de travaux sont prévus dans le contrat de plan État Région PACA et a qualifié d’insuffisante l’enveloppe de 1 million d’euros du contrat de plan État Région Rhône-Alpes. Il a donc demandé aux deux Préfets de Région de fournir une liste hiérarchisée de priorités et a souhaité la révision à mi-parcours de l’enveloppe de Rhône-Alpes, le million d’euros devant être consacré à des études opérationnelles pour que des travaux aient réellement lieu dans la seconde partie du contrat de plan. De façon à assurer une bonne coordination sous l’égide du Préfet coordonnateur du Massif, le Préfet de la Région PACA, les deux députés vont donc écrire aux deux Préfets concernés pour diligenter ces actions sous l’égide du Comité de Massif des Alpes.

Ecouter l’intervention : http://youtu.be/lV5X73NduSM

Téléchargement Compte rendu QOSD MN BATTISTEL désenclavement Alpes du Sud et Sud Isère 260315

 

 

340 magistrats et 1074 greffiers arriveront en fin d’année dans les juridictions afin de raccourcir les délais des procédures. Un engagement de la Garde des Sceaux en réponse au député Joël GIRAUD

Joël GIRAUD, député PRG des Hautes-Alpes, a, lors de la séance des questions consacrée à la politique pénale, interrogé la Ministre de la Justice Christiane TAUBIRA sur le nécessaire raccourcissement des délais de procédures délictuelles, en moyenne de 12,6 mois, et criminelles, en moyenne de  36,1 mois, des délais pour lesquels la France a été condamnée près de 300 fois pour « infraction au délai raisonnable » par la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

Le député radical de gauche s’est inquiété des conséquences en particulier pour les mineurs car ces « délais trop longs sont totalement contradictoires avec la notion de pédagogie de la peine ».

En réponse, Christiane TAUBIRA a rappelé que sous le précédent quinquennat le nombre de magistrats recrutés et formés a été inférieur au nombre de départ en retraite entraînant une thrombose du système. Depuis 2002, compte tenu des 3 ans de formation, la garde des sceaux a inversé cette tendance ce qui permettra fin 2015 au solde de redevenir positif avec l’arrivée de 340 magistrats. Quant aux greffiers, suite au caractère volontariste du budget 2015 de la justice, ils seront 1074 à rejoindre les juridictions, ce qui permettra de traiter plus rapidement et efficacement les affaires.

Ecouter l’intervention : http://youtu.be/CrjnCMRwOOY

Téléchargement Compte rendu débat politique pénale 240315

Débat sur le rapport d’information relatif au contrat d’objectifs et de moyens de France Télévisions

Intervention de Joël Giraud en séance du mercredi 25 mars 2015

Joël Giraud demande que les missions de France  soient réorientées vers plus de proximité en citant l'exemple des Hautes-Alpes où la "locale" proposée par France 3 Rhône-Alpes pour les départements alpins est ... le journal de la Ville de Marseille, plutôt qu'un journal des Alpes du Sud.

Lire l'intervention : Téléchargement 250315 Débat sur le rapport d’information relatif au contrat d’objectifs et de moyens de France Télévisions

Ecouter l'intervention en séance et la réponse de la Ministre : https://www.youtube.com/watch?v=zX837ydfONQ&feature=youtu.be