Député des Hautes-Alpes membre du groupe RRDP (Radical Républicain Démocrate et Progressiste)
Joël GIRAUD est membre titulaire du Conseil national pour le développement, l'aménagement et la protection de la montagne (Président de la Commission Permanente du CNM) et membre titulaire du Conseil national du tourisme.
Dans le cadre de sa fonction de député, Joël GIRAUD est membre de la Commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire. Il est également Président du groupe d'amitié France Italie, vice - président des groupes d’amitié France Chine et France Suisse et participe en qualité de vice-président aux groupes d’études aménagement du territoire, climatisme et thermalisme, politique de l’eau, en qualité de secrétaire aux groupes d’études montagne et question du Tibet et en qualité de membre aux groupes d’études économie sociale et solidaire, langues régionales, parcs nationaux et régionaux, tourisme trufficulture et zones et travailleurs frontaliers.
L’Argentiérois Frank Adisson et son groupement d’entreprises familial lauréats du 1er appel d’offres national pour le développement de la petite hydroélectricité.
Son projet du haut Bens a été retenu hier par Ségolène Royal premier sur les 40 déposés et 8 attribués dans le cadre de l’appel d’offres de projets hydroélectriques. Une première.
Frank Adisson de profil au 2ème rang juste derrière Ségolène Royal
Ségolène Royal signe le décret pour le doublement des objectifs d’économies d’énergie sur 2018-2020 pour les certificats d’économies d’énergie en application de l’Accord de Paris sur le Climat et de la loi de la transition énergétique pour la croissance verte.
La ministre a signé le décret en Conseil d’État fixant l’objectif d’économies d’énergie pour les années 2018 à 2020 à hauteur de 1 600 TWh cumac, dont 400 TWh cumac au bénéfice des ménages en situation de précarité énergétique (soit près du double de la période en cours : 850 TWh cumac, dont 150 TWh cumac précarité pour 2015-2017).
La publication de ce décret assurera la visibilité nécessaire aux fournisseurs d’énergie concernés.
Les travaux réalisés grâce aux CEE permettront une réduction de 10 milliards d’euros par an de la facture énergétique des ménages, entreprises et organismes publics. Cette mesure permettra de soutenir de nouvelles filières et de créer les emplois de la croissance verte. La loi de transition énergétique pour la croissance verte génèrera ainsi 75 000 emplois sur trois ans dans la rénovation des bâtiments.
Enfin, ce décret conforte la position de la France dans son ambition de révision de la Directive européenne relative à l’efficacité énergétique, qui vise à porter l’objectif d’efficacité énergétique à 30 % en 2030.
Le dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE) impose aux fournisseurs d’énergie (carburants, électricité, gaz, fioul domestique…) de soutenir des actions d’économies d’énergie. Ils sont ainsi amenés, directement ou en partenariat avec les collectivités locales, les entreprises du bâtiment ou spécialisées dans les services énergétiques, à mettre en place différents mesures d’incitations (remises sur facture, conseils personnalisés, prêts bonifiés, etc.) pour déclencher des opérations d’économies d’énergie.
Depuis le début du dispositif, les CEE ont permis :
l’installation de 1 000 000 chaudières individuelles performantes,
l’isolation des combles, toitures ou murs de 450 000 logements,
l'équipement de 50 000 logements en chauffe-eau solaire en outre-mer,
la rénovation de 250 000 luminaires d’éclairage public,
la formation à l’écoconduite de 64 000 chauffeurs,
l’équipement de 2,5 millions de m2 de serres de systèmes de chauffage performants,
la récupération de chaleur sur des compresseurs d’une puissance totale de 330 MW dans l’industrie.
Joël Giraud a offert aux Jeunes Agriculteurs des Hautes-Alpes un belle cloche à l'occasion du 3ème Salon de l'Elevage des 22 et 23 avril 2017 qui s'est tenu à Gap.
L'association des élus des communes du Parc National des Écrins s'est réunie le samedi 22 avril à La Grave sous la présidence de Jean-Claude Catelan, maire de La Chapelle en Valgaudemar et en présence de nombreux élus de l'Isère et des Hautes-Alpes dont Bernard Héritier, président du Parc et Joël Giraud député des Hautes-Alpes. Les deux sujets principaux abordés ont été les problèmes liés à la prédation, sous l angle de l'impact sur le tourisme des patous notamment au regard de la responsabilité des maires en cas d'attaque par des chiens de protection mais aussi la valorisation en lien avec les territoires du Grand Tour des Écrins et de ses variantes qui sont un atout pour les vallées des Écrins.
« Un mouvement de terrain d’un volume cinq fois supérieur à celui du Chambon »
Les sapeurs-pompiers d’Aiguilles ont testé « avec succès » une piste de secours pour permettre d’acheminer des renforts en moyen de lutte contre le feu, si la route venait à être coupée. « Ce mouvement de terrain d’un volume cinq fois supérieur à celui du tunnel du Chambon va en tout état de cause nécessiter une forte solidarité régionale et nationale », anticipe Joël Giraud.
Vendredi, une dizaine de groupes électrogènes ont été acheminés
Le député et les maires d’Aiguilles, Abriès et Ristolas ont fait le point en ce dimanche sur ce glissement. Ils ont discuté des possibilités de financements nationaux pour les travaux que va générer ce glissement encore bien actif en ce dimanche.
Vendredi, une dizaine de groupes électrogènes ont été acheminés. Enedis (ex-ERDF) prévoit le déplacement de la ligne à moyenne tension (20 000 volts) sur l’autre versant.
Le député Joël Giraud et les maires d'Aiguilles, Abriès et Ristolas ont fait le point en ce dimanche sur le glissement de terrain qui menace l'accès au Haut Guil et ont discuté des possibilités de financements nationaux pour les travaux que va générer ce glissement encore bien actif en ce dimanche.
Ils ont pu s'entretenir avec les pompiers d'Aiguilles qui ont testé avec succès une piste de secours pour permettre d'acheminer des renforts en moyen de lutte contre le feu si la route venait à être coupée.
Joël Giraud avait déjà rencontré le directeur d'ENEDIS (ex ERDF) afin de s'assurer que des groupes électrogènes avaient bien été acheminés et que la ligne d'alimentation en électricité serait bien déplacée rapidement sur l'autre versant. Ce mouvement de terrain d'un volume 5 fois supérieur à celui du tunnel du Chambon va en tout état de cause nécessiter une forte solidarité régionale et nationale.
Publié par Anthony PITON le dim, 23/04/2017 - 23:39
Petite trêve dans la période électorale du moment. On le doit aux jeunes agriculteurs des Hautes-Alpes. ils ont réuni sur le stand D!CI les partisans de Fillon et les partisans de Macron à l'occasion du salon de l'élevage. Chantal Éyméoud et Jean-Marie Bernard, soutiens de François Fillon, et leur concurrent le député Giraud ont évoqué la réussite du salon et les enjeux agricoles de nos territoires :
Ils décrivent le projet comme « innovant », une sorte de « laboratoire », un « exemple pour le reste de la France ». Ce laboratoire se situerait dans la Vallée étroite, un site classé, à Névache. Il aura pour objectif d’”électrifier” le secteur, en adéquation avec la transition énergétique.
Hier, à Névache, se tenait une réunion pour officialiser les démarches, et lancer un comité de pilotage. Il doit se réunir en mai.
Le hameau des Granges n’est pas raccordé au réseau électrique français. La commune de Névache est elle-même adhérente au SyME 05 (syndicat mixte d’électricité des Hautes-Alpes). Il y a une dizaine d’années, les habitants ont sollicité la collectivité pour bénéficier de l’alimentation électrique. « Les premières solutions évoquées, comme tirer des kilomètres de ligne électrique, installer des transformateurs, n’étaient pas satisfaisantes, explique le maire de Névache, Jean-Louis Chevalier. Avec l’évolution des technologies, il y a une solution viable écologiquement, aujourd’hui. »
Il s’agirait de créer une pico ou micro-centrale au hameau des Granges, et une ombrière solaire avec panneaux photovoltaïques. Le site de la Vallée étroite serait auto-producteur et auto-consommateur, avec une consommation égale à la production.
Le SyME05, maître d’ouvrage, sera allié à Enedis (anciennement ERDF), et le modèle économique associerait la commune, le SyME05, les habitants, des partenaires privés cofinanceurs.
Les hameaux concernés, les Granges et le Serre, regroupent une trentaine de maisons, une centaine de personnes et une bergerie fromagerie. Les habitants utilisent des groupes électrogènes.
Ce « site pilote » permettra de développer des prototypes d’entreprises. « Ce que veut le SyME05, grâce à la Vallée étroite, c’est un projet industriel réutilisable ailleurs », ajoute Jean-Claude Dou, vice-président du syndicat mixte. À l’heure actuelle, les financements ne sont pas encore acquis. Le coût s’élèverait à entre 1,5 et 2 millions d’euros.
Parallèlement, il est aussi envisagé de lancer des navettes électriques, de Bardonecchia au hameau des Granges.
Les travaux d’installation pourraient débuter l’été 2018. En attendant, plusieurs questions restent en suspens, soulevées par Christian Pelletier, directeur Alpes du sud d’Enedis : « Quel tarif sera appliqué ? Comment les interventions sur les installations seront-elles rémunérées ? »