Député des Hautes-Alpes membre du groupe RRDP (Radical Républicain Démocrate et Progressiste)
Joël GIRAUD est membre titulaire du Conseil national pour le développement, l'aménagement et la protection de la montagne (Président de la Commission Permanente du CNM) et membre titulaire du Conseil national du tourisme.
Dans le cadre de sa fonction de député, Joël GIRAUD est membre de la Commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire. Il est également Président du groupe d'amitié France Italie, vice - président des groupes d’amitié France Chine et France Suisse et participe en qualité de vice-président aux groupes d’études aménagement du territoire, climatisme et thermalisme, politique de l’eau, en qualité de secrétaire aux groupes d’études montagne et question du Tibet et en qualité de membre aux groupes d’études économie sociale et solidaire, langues régionales, parcs nationaux et régionaux, tourisme trufficulture et zones et travailleurs frontaliers.
ENVIRONNEMENT / Une décision prise alors que l'association rencontrait des difficultés de fonctionnement
- Hautes-Alpes -
10.000 euros pour faire face à une situation financière délicate : Joël Giraud décide de venir en soutien à l’Association des Communes Forestières des Hautes-Alpes. Une association qui regroupe les collectivités locales possédant une forêt et qui les accompagne dans la valorisation de ce patrimoine, mais qui rencontrait des difficultés de fonctionnement depuis 2014. . Le député PRG du département a récemment débloqué cette somme de sa réserve parlementaire. Une décision saluée par le président de l’association, Jean-Claude Dou, qui annonce que de nouvelles actions d’accompagnement des communes forestières pourront être mises en place.
SOCIÉTÉ / Une famille arrivée en France en 2012 et actuellement sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français et d'une mesure d'assignation à résidence
Joël Giraud obtient un délai supplémentaire pour examiner le dossier d’une famille arménienne domiciliée dans les Hautes-Alpes. La famille Vardanyan est arrivée en 2012 en France, avec aujourd’hui deux enfants, l’un de 11 ans et le second de 3 ans, s’est vu refuser en février dernier une autorisation de séjour. Elle est désormais sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français et d’une mesure d’assignation à résidence. Le député PRG des Hautes-Alpes a donc écrit au Préfet du département lui demandant d’étudier et de régulariser leur situation, alors que des menaces pèseraient sur eux en Arménie. Philippe Court a décidé de différer l’obligation d’éloignement de la famille afin de formuler une demande de réexamen de la situation auprès de l’OFPRA, l’Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides.
Joël Giraud, député des Hautes-Alpes a obtenu un délai pour que la famille Vardanyan puisse demander le réexamen de son dossier. Le Préfet, Philippe Court a, à titre exceptionnel, différé l'obligation d'éloignement de la famille Vardanyan, pour qu'ils puissent formuler, jusqu'au 30 juin, une demande de réexamen de leur situation auprès de l'OFPRA. La situation de cette famille au regard du droit d'asile sera décidé par l'OFPRA.
Le député des Hautes-Alpes est intervenu auprès de Monsieur le Préfet afin de solliciter un nouvel examen du dossier de la famille Vardanyan, bien implantée dans le département et pour autant, menacée d’expulsion.
Le Préfet, en réponse, informe Joël Giraud qu'il a différé d'un mois la décision et que les intéressés ont donc jusqu'à la fin du mois pour redemander un examen de leur dossier auprès de l'OFPRA, seule instance apte à juger de la situation de cette famille.
Par Lucie PUYJALINET | Publié le 21/06/2016 à 06:00
Quand la fonction publique est malmenée, la ministre Annick Girardin vole à l’écoute des fonctionnaires des territoires enclavés. « J’ai passé la journée dans votre département à la suite de l’invitation de mon ami Joël Giraud et j’y ai vu des hommes et des femmes qui se battent, qui ne comptent pas leurs heures », a conclu la ministre alors qu’elle inaugurait hier, lors d’une visite ministérielle chargée, l’Ehpad Augustin Guillaume de Guillestre rénové. Infirmières et encadrants étaient présents pour faire état des difficultés de leur profession mais aussi de leur passion : « Pour faire ce métier il faut aimer l’humain. On voudrait pouvoir faire notre travail le mieux possible mais on court après le temps. » Des remarques qui touchent la ministre : « Je voulais connaître leur réalité. Cela montre que les fonctionnaires sont au travail. Ils sont un trait d’union entre l’État et les habitants. »
Elle a rappelé son investissement pour augmenter le point d’indice qui était gelé depuis 2010. De nombreuses personnalités locales comme le préfet Philippe Court ou le vice-président du département Patrick Ricou ont suivi la ministre lors de cette journée marathon.
De vrais couteaux suisses
La journée a débuté à 9 h 30 à la nouvelle Maison de santé du Valgaudemar. Un début de visite chaleureux et nature, à l’image de la ministre qui n’était pas là pour faire de la politique mais pour entrer en contact avec les acteurs du territoire : « Je connais bien les problématiques des lieux isolés car je viens d’un milieu insulaire (elle a été députée de la première circonscription de Saint-Pierre-et-Miquelon depuis 2007, NDLR). Je sais que c’est dans ce type d’endroits qu’on trouve de véritables couteaux suisses. » Les maires du Valgaudemar ont présenté cette Maison de santé « qui fonctionne depuis octobre avec quatre médecins et qui montre que le déclin des zones rurales n’est pas une fatalité. » Les équipes médicales ont pu faire visiter les locaux et exposer à la ministre leur travail quotidien : « Il y a encore un nombre important de visites à domicile, on est au contact des habitants. »
Chantal Eyméoud, vice-présidente à la Région, a rappelé : « La désertification médicale est un vrai sujet que l’ARS prend à bras-le-corps. »
Après être passée aux Costes et à Remollon (voir ci-contre), la ministre a rencontré gendarmes et sapeurs-pompiers qui œuvrent autour du lac de Serre-Ponçon. « On couvre les plages mais aussi le lac en lui-même grâce à un bateau et des secouristes. 14 noyades ont été évitées en 2015 », exposait le lieutenant-colonel Patrick Moreau du Sdis 05. Un bilan que la ministre a honoré en faisant un trajet en bateau sur le lac de Serre-Ponçon, petite entorse au programme qui illustre son « amour du département ».
La question du loup10 h 30 : la ministre quitte le Valgaudemar pour Les Costes dans le but de signer plusieurs conventions avec l’Agence d’ingénierie territoriale. Un rendez-vous plus intimiste où elle a été interpellée par les jeunes agriculteurs. « Il faut qu’elle montre le chemin à Mme Royal. On avait juste affiché le nombre de victimes du loup. Les affiches ont été enlevées, on est déçus », faisait remarquer Virginie Martin, représentante des jeunes agriculteurs sur le canton, avant d’ajouter : « On l’a aussi interpellé sur la Pac. »
À Remollon, avant l’inauguration de l’agence postale où on lui a présenté le système de visioconférence, la ministre a rencontré les apprentis de la fonction publique. « Je n’avais pas vraiment pensé à cette voie mais aujourd’hui, c’est une fierté », faisait remarquer l’un d’eux. « Le problème c’est que comme il y a un concours, cela décourage beaucoup de gens », ajoutait une autre. Le temps d’échange a permis de découvrir les profils très différents des apprentis : « Une force », selon la ministre qui a aussi donné la parole aux tuteurs, « des fonctionnaires qui font ce travail en plus de leurs tâches personnelles pour l’avenir de la fonction publique ».
La question du loup10 h 30 : la ministre quitte le Valgaudemar pour Les Costes dans le but de signer plusieurs conventions avec l’Agence d’ingénierie territoriale. Un rendez-vous plus intimiste où elle a été interpellée par les jeunes agriculteurs. « Il faut qu’elle montre le chemin à Mme Royal. On avait juste affiché le nombre de victimes du loup. Les affiches ont été enlevées, on est déçus », faisait remarquer Virginie Martin, représentante des jeunes agriculteurs sur le canton, avant d’ajouter : « On l’a aussi interpellé sur la Pac. »
LA PHRASE
Avec ces visites, on se rend compte que l’innovation dans les Hautes-Alpes, c’est une question de survie.
Joël Giraud député-maire de L’Argentière-La-Bessée
La question du loup10 h 30 : la ministre quitte le Valgaudemar pour Les Costes dans le but de signer plusieurs conventions avec l’Agence d’ingénierie territoriale. Un rendez-vous plus intimiste où elle a été interpellée par les jeunes agriculteurs. « Il faut qu’elle montre le chemin à Mme Royal. On avait juste affiché le nombre de victimes du loup. Les affiches ont été enlevées, on est déçus », faisait remarquer Virginie Martin, représentante des jeunes agriculteurs sur le canton, avant d’ajouter : « On l’a aussi interpellé sur la Pac. »
La ministre de la Fonction publique, Annick Girardin, se livre à une visite marathon dans les Hautes-Alpes, ce lundi et ce mardi matin. Cette visite s’articule autour de deux thématiques principales : les innovations pour remédier à la désertification rurale et le soutien aux services de sécurité. Après l’inauguration de la maison de santé du Valgaudemar, à Saint-Firmin, Mme Girardin a assisté à la signature de plusieurs conventions entre l’agence départementale IT 05 (Ingénierie territoriale) et quatre communes haut-alpines, puis s’est rendue à Remollon, où elle a rencontré des apprentis de la fonction publique avant d’inaugurer la nouvelle agence postale. Ce lundi après-midi, elle a rencontré les gendarmes et les sapeurs-pompiers en charge de la sécurité sur le lac de Serre-Ponçon, puis inauguré l’Ehpad Guil-Ecrins à Guillestre. Elle quittera le département ce mardi matin par une visite du poste frontière de Montgenèvre.
A Saint-Firmin, la ministre a visité la pharmacie puis la maison pluridisciplinaire de santé du Valgaudemar, qui a ouvert ses portes il y a huit mois. Guidée par le Dr Zecconi, l’une des chevilles ouvrières de ce projet et ancien conseiller général, elle a rencontré des patients et des professionnels de santé et les a questionnés. « Nous sommes dans des territoires où la visite chez les patients reste essentielle », a souligné le Dr Zecconi. « Pour les médecins, cela représente 15 à 30% des consultations, et c’est plus de la moitié pour les infirmières et les kinés. Ces visites sont indispensables. » Et ce d’autant plus que « c’est aussi une façon de découvrir l’environnement de vie du patient », a ajouté une de ses consoeurs. « Le message est passé », a noté le député Joël Giraud. « C’est l’occasion, sinon ça ne sert à rien de venir », a commenté Mme Girardin, qui est allé dans le sens de l’observation du Dr Zecconi.
En inaugurant la maison de santé, Alain Freynet, maire de Saint-Firmin, est revenu sur « les études et les Cassandre, qui n’ont pas manqué pour prédire la fin des paysans, la fin de nos villages… C’était sans compter sur la volonté des habitants de cette vallée. » Daniel Alluis, président de la communauté de communes du Valgaudemar, a détaillé ce qu’a permis cette « structure indispensable », avec la présence d’une pharmacie, de quatre médecins, d’un cabinet d’infirmières, d’un podologue qui intervient une fois par semaine et d’un cabinet de kinésithérapeutes, qui va prochainement s’installer sur un terrain attenant. Grâce aux trois maisons de santé du Champsaur-Valgaudemar et au pôle de santé qui couvre l’ensemble de ce secteur, « ce sont dix jeunes médecins qui ont posés leur plaque dans nos vallées », s’est félicité le Dr Zecconi, qui va lui-même bientôt prendre sa retraite.
« Dans ces territoires isolés, on trouve toujours des solutions »
« Seul ce type d’organisation peut permettre de répondre au sujet de la désertification médicale », a rappelé Chantal Eyméoud, vice-présidente de la Région, qui a cofinancé cette création. « Cela permet de maintenir des populations en toute sécurité, mais c’est aussi un atout pour accueillir des touristes. » Le député Joël Giraud a d’ailleurs estimé que « ce sont des territoires spécifiques pour lesquels il faut des réponses spécifiques. C’est tout l’enjeu de l’acte 2 de la loi Montagne en cours de préparation. Si nous avons pu faire autant de maisons de santé dans les Hautes-Alpes, c’est grâce à la souplesse de l’Etat sur les normes. »
Annick Girardin a fait le parallèle entre sa terre d’élection, Saint-Pierre-et-Miquelon, et les territoires de montagne : « Nous sommes tous des territoires isolés. Nous avons des inquiétudes sur leur attractivité. Mais dans ces territoires, on trouve toujours des solutions. »
Quelques kilomètres plus loin, aux Costes, c’est aussi une réponse innovante au désengagement de l’Etat dans l’assistance à la maîtrise d’ouvrage des communes, notamment les plus petites, que la ministre a pu découvrir. Avec l’agence IT 05, « le Département aide les communes sur différents points, qu’il s’agisse de l’eau, de l’assainissement, de l’irrigation… », a expliqué Marc Viossat, vice-président du conseil départemental. « Le Département a un rôle de solidarité et de proximité. »
En présence de Mme Girardin, M. Viossat a signé des conventions avec les maires de L’Argentière-la-Bessée, Puy-Sanières, Saint-Michel-de-Chaillol et Les Costes pour assister ces communes dans leur maîtrise d’ouvrage et leur recrutement de maître d’oeuvre pour l’élimination de fuites dans le réseau d’eau potable, l’assainissement collectif, la voirie ou la reconstruction d’un mur de soutènement effondré. Ce faisant, « l’objectif est que le projet se réalise dans les meilleures conditions techniques et financières, ce qui entre aussi dans la bonne utilisation des fonds publics », a remarqué Patrick Ricou, conseiller départemental du Champsaur et 1er vice-président du Département.
« Je suis ici pour montrer que l’Etat est aux côtés des territoires très isolés »
Tout en se félicitant de cette « première visite d’une représentante du gouvernement dont on se souviendra longtemps », le maire des Costes, Joël Nouguier, n’a pas manqué de regretter « la baisse des dotations de l’Etat, même si nous comprenons aussi les difficultés actuelles ». M. Ricou l’a également souligné de manière plus appuyée, en évoquant les bourses accordées à 25 étudiants en médecine effectuant leur stage dans les Hautes-Alpes ou le dispositif des « Visio rendez-vous » permettant d’avoir des entretiens depuis 24 lieux du département avec 31 services publics. « Nous le faisons dans des conditions financières très difficiles », a-t-il rappelé. « Et nous avons trop souvent l’impression d’être les exécutants de décisions qui nous sont imposées. »
« Ma première méthode de fonctionnement, c’est de venir sur le terrain », a répondu Annick Girardin. « Je sais combien c’est compliqué et pour le gouvernement, et pour les collectivités. Des travaux et des réflexions sont menés et je souhaite qu’on parvienne à des solutions. Je suis ici pour montrer que l’Etat est aux côtés des territoires très isolés. Il faut chercher des adaptations de toutes les normes nationales et européennes. » Reprenant sa casquette de ministre de la Fonction publique, elle a aussi déclaré être « aux côtés des fonctionnaires dans une période très compliquée. Il nous faut une fonction publique exemplaire, prête à relever l’ensemble des défis. »
Le déplacement ministériel s’est poursuivi à Remollon, où Mme Girardin a présidé une table ronde avec de jeunes apprentis de la fonction publique. Puis elle a inauguré la nouvelle agence postale du village, au côté du maire, Bernard Allard-Latour, avant de participer à une démonstration de « visio rendez-vous ».
POLITIQUE / La Ministre de la Fonction Publique, Annick Girardin, est venue rassurer les élus sur le fait que les territoires isolés ne sont pas oubliés par l'État et le Gouvernement
La Ministre de la Fonction Publique, Annick Girardin, dans les Hautes-Alpes. Après une première journée d’inaugurations et de rencontres ce lundi, elle se rend ce mardi au col de Montgenèvre, pour assister aux contrôles aux frontières. Annick Girardin venue dans les Hautes-Alpes, pour parler de l’importance de la présence des fonctionnaires en territoire de montagne afin d'assurer la continuité de la République. Un territoire qui doit s’adapter au quotidien.
Isolées, les Hautes-Alpes doivent s’adapter
Annick Girardin, la Ministre de la Fonction Publique est venue à Saint-Firmin débuter sa visite des Hautes-Alpes par l’inauguration de la Maison de Santé pluridisciplinaire. Un projet que la Communauté de communes a porté en maitrise d’ouvrage, financé par les collectivités, la Région, l’État et l’Europe pour 700.000 euros. Une maison qui héberge une pharmacie et où travaille quatre médecins, avec plusieurs infirmières en rotation.
Un moyen de lutter contre le désert médical. « Les territoires isolés sont des territoires, souvent, qui innovent, qui portent des expérimentations, que l’on peut d’ailleurs généraliser ensuite », indique sur Alpes 1 Annick Girardin. « Nous voulons, effectivement, que dans l’ensemble des territoires français, notamment ceux qui ont la nécessité de s’adapter à des conditions spécifiques comme ici, peuvent le faire avec le soutien du Gouvernement, de l’État, financièrement. »
L’État n’oublie pas les Hautes-Alpes
Rassurer les élus locaux, c'était l’objectif de la Ministre, habituée aux territoires isolés car originaire de Saint-Pierre-et-Miquelon. Annick Girardin qui assure que l’État reste engagé dans les Hautes-Alpes. « Nous vivons dans des territoires isolés, où la température varie énormément, où la densité en population peut varier selon les périodes, avec des moments d’hiver où des personnes sont totalement isolées. Il faut pouvoir apporter des réponses dans ces cas-là. Il faut venir soutenir l’ensemble de ces acteurs de terrain. »
La Ministre de la Fonction Publique a pris connaissance de l’Agence d’Ingénierie départementale IT 05. Elle a aussi inauguré l’Ehpad de Guillestre, mais également participé à une table-ronde avec des apprentis embauchés dans la Fonction Publique. Une réunion qui s’est tenue à Rémollon.
La Fonction Publique, c’est aussi la sécurité
La Ministre de la Fonction Publique, Annick Girardin, a également rencontré ce lundi les pompiers et gendarmes qui œuvreront cet été sur le Lac de Serre-Ponçon. La Ministre qui se rend ce mardi auprès de la Police aux Frontière, au col de Montgenèvre. « On sait bien que, dans des territoires comme ceux-ci où il y a beaucoup de risques, il faut que les citoyens puissent vivre également en sécurité, qu’on puisse répondre là-aussi aux besoins. »
Pour achever son voyage dans les Hautes-Alpes, la Ministre de la Fonction publique, Annick Girardin, a rendu visite aux personnels de la Police Aux Frontière à Montgenèvre avant de reprendre la route en direction de l’aéroport de Turin. Il s’agissait pour elle de montrer aux Français que “leur sécurité commençait ici aux frontières” et de remercier les agents qui étaient à ses côtés et poursuivaient leur travail pendant la visite. Mais c’était aussi l’occasion pour la Ministre de s’entretenir avec les fonctionnaires de façon "libre et directe".