Joël GIRAUD

Article d'Alpes et Midi : Saisonniers

Lu sur le site web du Dauphiné Libéré : société - Hier, 41 personnes ont acquis la nationalité française lors d’une cérémonie, à la préfecture Nouveaux enfants de la patrie

consulter le site web : http://c.ledauphine.com/hautes-alpes/2017/03/07/nouveaux-enfants-de-la-patrie

Une partie des récipiendaires du décret d’acquisition de la nationalité française, avec le préfet et les élus.

 

Gap. Cérémonie d'accueil à la citoyenneté française

41 nouveaux citoyens français célébrés

Ils sont d’origine algérienne, tunisienne, polonaise, portugaise, guatémaltèque, zaïroise, malienne, chilienne ou encore malgache… Maintenant, ils sont Français en vertu d’un décret de naturalisation signé en 2016 par le Premier ministre. La cérémonie d’accueil organisée par le préfet des Hautes-Alpes, hier, concernait 41 personnes : 29 adultes et 12 de leurs enfants. Elle correspondait au second semestre de l’année 2016, une autre cérémonie ayant été organisée en juin dernier. Au titre de 2016 ce sont 96 personnes en tout qui ont acquis la nationalité française.

« Vous vous souviendrez de l’enfer des tranchées, du maquis… »

Un film retraçant l’histoire, et les valeurs de la République, de la devise liberté, égalité, fraternité, de la loi qui protège mais qui punit aussi, introduisait la réunion avant l’intervention de Philippe Court, préfet des Hautes-Alpes.

« Vous avez choisi de devenir français, ce n’est pas une simple formalité administrative. Vous êtes accueillis dans une nation qui se singularise et qui s’est construite parfois dans l’épreuve. Vous vous souviendrez de l’enfer des tranchées, du maquis, de ceux qui ont pris les armes à partir de 1940, du pays des droits de l’Homme… » Le représentant de l’État dans le département est ensuite revenu sur la notion de fraternité, avec ces mots : « Vous avez le devoir de la protéger, la fraternité et de la faire grandir. »

La remise du décret d’acquisition de la nationalité française a associé Joël Giraud, député-maire de L’Argentière-la-Bessée, la sénatrice Patricia Morhet-Richaud et les maires ou les représentants des 11 communes de résidence des nouveaux français. À savoir Briançon, Guillestre, Espinasse, Embrun, Lazer, Gap et Laragne-Montéglin.

La cérémonie s’est terminée comme il est d’usage par l’interprétation par tous de “La Marseillaise”. La diversité des parcours faisant, tout le monde a ensuite eu de nombreux souvenirs à échanger.

Réserve parlementaire 2017

site web : http://c.ledauphine.com/hautes-alpes/2017/03/02/comment-joel-giraud-a-reparti-son-enveloppe-2017

Vendredi 3 mars 2017

POLITIQUE Comment Joël Giraud a réparti son enveloppe 2017

Photo archives Le DL/VIRGILE

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Joël Giraud, député de la deuxième circonscription du département a rendu public l'utilisation de sa réserve parlementaire 2017. Voilà comment le député-maire de L'Argentière-la-Bessée a alloué son enveloppe 2017.

Pour les associations

- "432A" (insertion scolaire) : 5 640 €.
- "Moulins de Sachas" : 2 000 €.
- "Mountain Wilderness" : 5 639 €.
- "Radio alpine meilleure", fonctionnement et soutien à l'emploi : 5 639 €.
- Festival "Jazz and chesse", achat d'un chapiteau : 5 639 €.
- Etoile sportive vallouisienne, kits détecteur de victimes d’avalanches : 3 800 €.
- "Nouvel envol Hautes-Alpes", organisation de mini-séjours pour personnes à faible autonomie : 4 000 €. - Lycée Poutrain, réalisation d'un film: 2 000 €.
- Restos du cœur, achat d'un véhicule utilitaire : 5 640 €.
- Maison lycéens Briançon, séjour linguistique et culturel en Irlande : 5 639 €.
- Ski club Queyras, achat d'un fourgon : 5 639 €.
- Croix-Rouge de Briançon, achat d'un fourgon : 5 639 €.
- "Educalpes", accueil mineurs dans les refuges : 5 000 €.
- "Vivre et vieillir chez soi", projet des livres pour tous : 5 000 €.
- "Chemins pluriels", réalisation d’une exposition sur les migrants: 1 200 €.
- "Radio Imagine", investissement matériel : 5 640 €.
- Internationaux d'escalade Serre Che, organisation du mondial de l'escalade : 5 000 €.
- "Collectif Totoutart", festival jeune public de la patate : 5 639 €.
- Sport et culture en Champsaur, édition de livres : 3 600 €.
- Ligue de protection des oiseaux, lutte contre les chenilles processionnaires : 3 000 €.

Pour les municipalités 

- Château-Ville-Vieille, équipement viabilité hivernale : 5 640 €.
- Bréziers, déplacement du monument morts et acquisition jeux enfants et panneaux rue: 5 639 €.
- Vars, aménagement de fontaines : 4 000 €.
- Villard-Saint-Pancrace, aménagement de la salle Saint-Paul : 5 639 €.
- La Roche-de-Rame, achat jeux pour conseil municipal jeunes : 3 000 €.
- Remollon, achat aspirateur : 4 650 €.
- Saint-Véran, révision PLU : 5 639 €.
- Puy-Saint-André, achat d'un photocopieur : 4 800 €.

Article du Dauphiné Libéré du 3 mars 2017 : Viste d'Estelle Grelier

Lu sur le Site de la Radio Alpes 1 : Hautes-Alpes : la ministre Estelle Grelier sera en visite jeudi prochain

02 Mars 2017

POLITIQUE / Lors de ce déplacement, la ministre se rendra notamment à Serre-Chevalier afin d’assister à un exercice de sauvetage avec un maître-chien d’avalanche

- Hautes-Alpes -

 

La ministre Estelle Grelier sera en visite dans les Hautes-Alpes jeudi 9 mars, à l’invitation de Joël Giraud, député PRG du département. « C’est la 15ème ministre à faire le déplacement dans les Hautes-Alpes depuis le début de la mandature législative actuelle », précise le député. Estelle Grelier est secrétaire d’État chargée des collectivités territoriales. Lors de ce déplacement, la ministre se rendra à Serre-Chevalier le matin, afin d’assister à un exercice de sauvetage avec un maître-chien d’avalanche. Elle se rendra ensuite à Briançon pour une visite patrimoniale de l’Église de la Collégiale, avant d’animer une table ronde sur la réforme territoriale avec les élus, à Vallouise Pelvoux. À la mi-journée, elle se rendra à L’Argentière La Bessée, pour la pose de la première pierre de l’extension de la maison des compagnons du devoir. Enfin elle ira à Gap, pour la signature du dispositif Garantie jeunes en préfecture. Un déplacement qu’elle clôturera par la visite du chantier de la salle polyvalente de La Roche des Arnauds. 

A l'occasion de l'inauguration du premier marché couvert des Hautes-Alpes, le président de la Chambre de Commerce et d'Industrie a rappelé comment dans la loi de finances Joël Giraud a sauvé les budgets des CCI comme celle des Hautes-Alpes

Ecouter les interventions, à l'occasion de l’inauguration du marché couvert de l'Argentière-La Bessée ce vendredi 24 février 2017 (cliquer sur la photo)

 

 

Lu sur le site web du Dauphiné Libéré : Rencontre avec Sylvie Guillaume, vice-présidente du Parlement européen « Le pouvoir ? On n’en a pas assez ! »

Consulter le site du journal : http://c.ledauphine.com/hautes-alpes/2017/02/27/le-pouvoir-on-n-en-a-pas-assez

Sylvie Guillaume et Joël Giraud ont animé le débat avec la population sur l’Europe.

La salle baratonne était remplie d’un public très attentif.

Rencontre avec Sylvie Guillaume, vice-présidente du Parlement européen

L’Europe. Le sujet inquiète mais intéresse. Le député Joël Giraud proposait une rencontre publique avec Sylvie Guillaume, vice-présidente du Parlement européen, à la salle des fêtes de Baratier vendredi soir. L’élue est membre de deux commissions de travail : “liberté civile et justice intérieure” et “culture éducation, sport et citoyenneté”. Le mandat est exigeant. La fracture entre les citoyens et l’Europe grandissante. Pourtant, Sylvie Guillaume se bat au quotidien pour maintenir ses idéaux d’une Europe forte et puissante. « Nous nous réunissons à Bruxelles chaque semaine sous forme de groupes thématiques et politiques, et non par nationalité. Nous devons trouver des accords, la tâche n’est pas simple. On avance donc à petits pas. »

Les crises s’accumulent avec intensité et rapidité

« Les crises bancaires se transforment en crises économiques et sociales avec des taux de chômage qui dépassent dans certains pays les 50 %. Il y a bien sûr la crise en Syrie et au Moyen Orient, avec des peuples qui cherchent asile. Des pays ont été débordés par le déferlement avant de refermer leurs frontières et rétablir les contrôles. Pourtant, la solidarité collective est un pilier de l’Europe. Le Brexit des Anglais ne vient pas simplifier les choses. C’est la première fois qu’un pays sort de l’Union. Le contexte international est anxiogène, avec Poutine d’un côté et Trump de l’autre, qui ne nous facilitent pas la tâche ». Alors, pour être plus visible et s’affirmer dans un monde en crise, l’Europe lutte et s’efforce de trouver des accords pour faire évoluer son territoire.

Sylvie Guillaume mentionne des directives qui lui sont chères, telles que le détachement des travailleurs, leurs déplacements dans l’Union.

Le travail et la jeunesse en ligne de mire

« Les protections sociales sont différentes dans chaque pays, les ouvriers de l’Est sont devenus des travailleurs low-cost, il faut réformer cette directive pour mieux fixer les charges sociales et convenir d’un salaire minimum partout en Europe. À travail égal, lieu égal, salaire égal. » Sylvie Guillaume s’attache aussi au soutien de la jeunesse, pour la formation et l’emploi. Elle cite notamment le programme Erasmus, qui fête cette année ses 30 ans, et prône la liberté de circulation, l’échange des cultures, la fraternité. « Le programme était menacé en 2014, et on a réussi, depuis, à augmenter son budget de 40 %. Du jamais vu. »

Les questions des citoyens portaient sur les budgets, le populisme, les migrants, les réfugiés, l’agriculture, mais aussi le pouvoir du Parlement européen. « Le pouvoir ? On n’en a pas assez ! Notamment celui d’initiative législative et de résolutions. Seule la commission l’a. C’est un pouvoir contraignant contre les États. Peut-être un jour… »

Par Marianne SERRA | Publié le 27/02/2017

Lu sur le site de D!CI TV : Hautes-Alpes : Sylvie Guillaume, Députée européenne de la circonscription du Sud Est en déplacement à Baratier

Consulter le site de la TV : http://www.dici.fr/actu/2017/02/21/hautes-alpes-sylvie-guillaume-deputee-europeenne-de-circonscription-sud-deplacement-baratier-973045

Politique

Sylvie Guillaume sera en réunion publique le 24 février à Baratier, près d'Embrun. Députée européenne de la circonscription du Sud Est (Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d'Azur, Corse), membre du groupe de l'Alliance Progressiste des Socialistes et Démocrates au Parlement européen, elle participera à une rencontre-débat sur le thème des Enjeux Européens à 18h. Une invitation de Joël Giraud, Député des Hautes-Alpes. Rendez-vous le 24 février à 18H à salle "la Baratonne" route de Pra Fouran - 05200 Baratier

Invité par Jean-Michel Di Falco Léandri, évêque de Gap et d'Embrun à une conférence intitulée "Dans un monde qui change, retrouver le sens du politique", Joël Giraud a salué cette initiative courageuse.

En effet, en pleine confusion politique, retrouver le sens du politique peut paraître une gageure, mais en tout état de cause, pour le député des Hautes-Alpes, il s'agit d'une impérieuse nécessité !

Lire le discours de Joël Giraud : Téléchargement Discours retrouver le sens du politique.170217

Alpes du Sud : les « cars Macron » en substitution des TER, est-ce possible dans les Alpes du Sud ?

Publication d'Alpes I - Alpes du Sud du 15 février 2017

 

 

 

15 Février 2017

 

TRANSPORT / Depuis l’annonce d’une étude par la région PACA sur la ligne TER, Gap-Briançon, chacun s’inquiète de l’avenir d’une ligne qui pourrait être remplacée par des bus. Une possibilité rendue possible par les « cars Macron » ? La réponse ici.

 Le débat sur la possibilité de voir des bus se substituer au TER dans les Alpes du Sud fait rage depuis que le président (LR) de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Christian Estrosi, a annoncé le lancement d’études sur quatre lignes TER de la région dont Gap-Briançon. Inquiétude relayée tour à tour par les députés des Hautes-Alpes, Karine Berger (PS) et Joël Giraud (PRG).

 

«  Que J.Giraud et  K.Berger cessent d’agiter le chiffon rouge consistant à caricaturer C.Estrosi »

De son côté, le président Les Républicains et candidat aux législatives face à Joël Giraud, Arnaud Murgia, appelle à « cesser d’agiter le chiffon rouge. » Plus qu’une réalité imminente, Arnaud Murgia dénonce « des rumeurs sur les fermetures de lignes et le remplacement par des bus », des rumeurs répandues par un Joël Giraud, soutien d’Emmanuel Macron, « principal promoteur du remplacement des trains par des bus en France, on pourrait presque rire ! » Pour autant, l’étude existe bien, et donc la question se pose de savoir qu’elle en sera l’issue ?

 

« Des annonces de gribouille qui ne rendent pas service au territoire »

Ce que dénonce le député-maire de l’Argentière-la-Bessée, à travers cette rhétorique, est l’une des conditions à laquelle souscrivent 61% des utilisateurs du TER interrogés en préambule de cette étude, qui seraient favorables à la mise en place de cars : « des routes ou des voies exclusivement réservées au passage des cars. »

D’évidence, une vraie difficulté dans nos territoires, voire « un garde-fou si contraignant que, de toute façon on ne pourra pas le faire (…) les personnes qui ont lancé cette étude entre Gap et Briançon n’ont peut-être pas complétement regardé la géographie qui sépare ces deux villes, à moins de goudronner les voies SNCF », insiste Joël Giraud.

 

« Ne remplaçons pas les trains par des cars, optons pour la complémentarité ! »

C’est également le mot d’ordre d’une pétition déposé sur le site Change.org. Proposée par 28 associations et collectifs de défense des usagers (dont ALAS 04/05, le Comité de Développement du Grand Briançonnais, Briançon Italie Ferroviaire, le collectif de l’étoile ferroviaire de Veynes, l’Association pour la promotion de la ligne SNCF Grenoble Veynes Gap, et le conseil de développement du pays Serre-Ponçon-Ubaye),  elle a recueilli à ce jour 4.905 signatures. Une pétition soutenue également par EELV Paca.

 

Les « cars Macron » en substitution des TER ?

Soutien d’Emmanuel Macron et candidat En Marche pour les législatives, Joël Giraud se voit également interrogé sur la contradiction qui réside entre le « non » pour les bus dans les Alpes du Sud en substitution du TER et son soutien à celui qui a libéralisé les lignes de bus en France. Sauf que, le texte est très clair sur le sujet.

Alors que dit ce texte, concrètement? Si celui-ci ouvre bien à la concurrence le transport de passagers par autocar, c’est uniquement sur les longues distances en France, en autorisant le lancement de lignes nationales. En revanche, les lignes dont la distance routière est inférieure ou égale à 100 kilomètres entre le point d'origine et le point de destination de la liaison, dont les détours ne sont pas comptabilisés, avec ou sans correspondance, ne sont pas concernés par ces fameux « cars Macron ».

Même en estimant que la ligne soit directe entre Gap et Briançon, les fameux 100 km ne sont pas atteints, les deux villes étant distantes de 86 km. Autre possibilité ? Envisager une ligne directe Marseille-Briançon (210 km). Mais dans ce cas un autre garde-fou inscrit dans le texte, l'Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (ARAFER), peut être saisie et décréter que la ligne de bus concernée est en concurrence déloyale avec une ligne ferroviaire et décide d’en interdire l’exploitation.