Député des Hautes-Alpes membre du groupe RRDP (Radical Républicain Démocrate et Progressiste)
Joël GIRAUD est membre titulaire du Conseil national pour le développement, l'aménagement et la protection de la montagne (Président de la Commission Permanente du CNM) et membre titulaire du Conseil national du tourisme.
Dans le cadre de sa fonction de député, Joël GIRAUD est membre de la Commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire. Il est également Président du groupe d'amitié France Italie, vice - président des groupes d’amitié France Chine et France Suisse et participe en qualité de vice-président aux groupes d’études aménagement du territoire, climatisme et thermalisme, politique de l’eau, en qualité de secrétaire aux groupes d’études montagne et question du Tibet et en qualité de membre aux groupes d’études économie sociale et solidaire, langues régionales, parcs nationaux et régionaux, tourisme trufficulture et zones et travailleurs frontaliers.
Publié par Anthony PITON le mar, 20/09/2016 - 13:17
L'information vient de Joël Giraud, le député-maire PRG de l'Argentière-la-Bessée qui a adressé la nouvelle par courrier à Michel Frison, le maire de La-Roche-de-Rame, et à Jean-François Albrand, le président de l'association "Déviation LRDR". L'étude relative à la déviation de la Roche-de-Rame est bien inscrite au contrat de plan État-Région, et avec un budget dédié de l'Etat (200.000 euros) qui ne sera donc pas décompté du budget dédié au contrat de plan.
La sous-préfète de Briançon, Isabelle Sandrané, prévoit d'ores et déjà une réunione, qui aura lieu prochainement, avec toutes les instances concernés, les élus du secteurs et les représentants de l'association "Déviation LRDR" qui saluent la bonne nouvelle pour la RN94 et La-Roche-de-Rame, probablement le seul endroit en France où sur une route nationale, deux camions ne peuvent pas se croiser.
TRANSPORT / Une annonce de Joël Giraud, député PRG des Hautes-Alpes
Les études finales pour la déviation de la Roche de Rame seront bien intégrées au CPER, Contrat de Plan Etat Région. Une annonce faite en juin dernier à Joël Giraud, député des Hautes-Alpes, par Jean-Michel Baylet, Ministre en charge de l’Aménagement du Territoire. L’annonce est confirmée par le Parlementaire dans un courrier envoyé le 15 septembre dernier au maire de La Roche de Rame, Michel Frison, et le président de l’Association pour la déviation de la Roche de Rame, Jean-François Albrand. Le CPER mentionnera « de manière explicite » la mise à jour de l’étude, mais pas le montant car il sera pris en charge à 100 % par l’État. La somme annoncée est d’environ 200.000 euros.
Publication d'Alpes 1 Alpes du Sud le 16 septembre 2016.
EMMANUELLE LUCAS (à Briançon), le 11/08/2016 à 8h40
Durant quinze jours, La Croix explore l’aménagement du territoire à travers les régions.
La cité alpine située en bout de ligne SNCF et entourée de cols présente des difficultés d’accès. Pourtant, des solutions existent à la fois par le train et par la route.
Le train de nuit Paris-Briançon. / yg/PHOTOPQR/LE DAUPHINE/MAXPPP
À 7 h 30, en ce petit matin ensoleillé, les voyageurs du Paris-Briançon échangent leurs impressions. Partis la veille à 21 h 22 de la gare d’Austerlitz, ils se réveillent devant les paysages somptueux du lac de Serre-Ponçon, à Embrun (Hautes-Alpes).
La ville la plus haute de France est un peu isolée
À 8 h 30, ils arriveront dans la ville « la plus haute d’Europe ». En attendant, ils commentent la bonne nouvelle : la veille, le ministre des transports Alain Vidalies a annoncé que le Paris-Briançon était maintenu pour trois ans, « faute d’alternative ». La ligne ne fermera donc pas d’ici à la fin 2017, contrairement aux autres lignes de nuit.
Il faut dire que la géographie somptueuse du Briançonnais tourne au casse-tête pour les élus et les aménageurs de tous ordres. Campée à 1 300 m d’altitude, la ville est aussi située à 15 km de la frontière italienne et sur la route des cols.
La ville de Briançon est située dans les Hautes-Alpes, près de la frontière italienne. / /
Elle est desservie au départ de Grenoble par la D1091, actuellement fermée du fait de l’effondrement du terrain au niveau du tunnel du Chambon en avril 2015 et qui ne sera rouverte qu’en fin d’été 2017. L’autre voie d’accès est la RN94 en provenance de Gap et à destination de l’Italie par le col du Montgenèvre.
Incontournable chemin de fer
« Le train reste absolument nécessaire. Certaines personnes n’ont aucune envie de conduire sur les routes de montagne enneigées », explique Joël Giraud, député (PRG) des Hautes-Alpes et maire de la commune de L’Argentière-La-Bessée, une petite ville de 2 300 habitants posée à flanc de montagne.
Cet ancien inspecteur des finances amateur de bons mots se bat inlassablement pour le désenclavement du Briançonnais. Avec le maintien du train de nuit, il a marqué un point.
Le train de nuit a ses ardents défenseurs
« Je vais repartir à la charge auprès du ministère en septembre, prévient-il avec une gourmandise amusée. Il nous faut obtenir un cahier des charges précis, avec des trains supplémentaires pendant les vacances, ainsi qu’un programme de rénovation des couchettes. Nous pouvons bien demander cela, car au fil du temps, nous avons beaucoup perdu. »
Un « Collectif de défense du train de nuit » est né autour de Bernard Liger et Robert de Caumont, ancien maire de Briançon. Selon lui, ce train n’a rien à envier aux TGV plus récents. « Il reste le moyen de transport le plus rapide, car il permet de gagner deux jours de vacances : vous partez le vendredi soir de Paris, vous êtes le samedi matin sur les pistes ! » « C’est aussi le moyen de transport le plus sûr pour les élèves pensionnaires ou les personnes âgées », renchérit un autre membre du collectif, Francine Dardenne, élue EELV de Briançon.
De nécessaires progrès
Pourtant, chacun déplore le manque de fiabilité technique de la ligne. Du coup cette année, pour la première fois, il y a eu plus de voyageurs entre la gare TGV d’Oulx (en Italie) et Serre-Chevalier qu’entre la gare de Briançon et Serre-Chevalier.
« Rendez vous compte, le train de nuit roule à 60 km/h de moyenne, soit moins vite que les trains à vapeur ! », s’étranglent Franck Gatounes, conducteur de train, et Gérard Martinez, régulateur, tous deux élus CGT. « Et il n’a circulé que 50 fois depuis janvier, principalement du fait de travaux sur les voies. » Ces deux passionnés, qui donnent de leur temps libre pour animer une micheline « artistique et culturelle » sur la ligne (1), y voient « l’épuisement de la politique de régionalisation ».
Ce modèle se heurterait à une évidence : Briançon est en bout d’une ligne qui traverse plusieurs régions. « Rhône-Alpes n’a pas forcément envie de payer des travaux sur une ligne qui dessert Provence Alpes Côte d’Azur. À l’inverse, les élus provençaux ne sont pas forcément très intéressés par les trains alpins. Bref, nous embêtons tout le monde. C’est pourtant à ce prix que les petites villes sont desservies. »
► La solution passe aussi par l’Italie
Le tunnel du Chambon étant fermé, les automobilistes redécouvrent celui du Fréjus. Seul problème : tout mineur doit posséder une autorisation de sortie du territoire signée par ses deux parents pour quitter le sol français, y compris pour emprunter le tunnel. Les enfants de couples divorcés, par exemple, sont concernés. Le député Joël Giraud compte demander une dérogation pour les régions frontalières.
La perspective de la future LGV Lyon-Turin, prévue pour 2029, alimente beaucoup d’espoirs. La gare italienne de Susa devrait alors devenir un nœud ferroviaire situé à 3 heures de Paris, 4 heures de Barcelone ou 5 heures de Londres. Or Susa est à 55 km de Briançon, qui espère donc une desserte de bus ou TER conséquente.
Hautes-Alpes : "Il faut en finir avec le point noir de la Roche de Rame" Joël Giraud
Publié par Adrien CITEAU le
Il n'en fait pas un mystère. Le député (PRG) maire de L'Argentière briguera très probablement un 4e mandat de député en juin prochain. Face à lui, Arnaud Murgia (LR) à droite, et d'autres candidats non-confirmés : Victor Berenguel (Debout la France), et le Front National.
Problème, s'il est élu, il devra quitter la mairie de L'Argentière La Bessée en raison d'une loi sur le cumul des mandants qu'il conteste.
S'agissant des dossiers locaux, le député s'est dit favorable à la fusion Pelvoux/Vallouise et a indiqué une priorité : faire avance le dossier de la déviation de la Roche de Rame. Selon lui, il faut en finir avec le projet de grand contournement dont le financement est impossible à trouver. Il faut selon lui être pragmatique et surtout faire vite.
"La Ministre de l'Emploi, Myriam El Khomri, était de visite dans les Hautes-Alpes, vendredi 2 septembre. Invitée par le députe Joël Giraud, ardent défenseur du travail saisonnier et de l'économie spécifique des territoires qui en vive.
La Ministre entendait bien convaincre les Hauts-alpins de son engagement ! Elle annonçait d'emblée comprendre et se battre pour la réévaluation des emplois de saison, l'importance du dispositif "Embauche Petites et Moyennes Entreprises » et celle de la formation. Une compréhension... qui en a laissé certains amers depuis le 49.3 imposé par Manuel Valls, mais dont la Ministre se défend, confiante. "Nous n'avons pas pris que de bonnes mesures en début de quinquennat, nous en tirons les leçons nécessaires pour les rectifier et avons réinvesti. Il faudra quelques mois pour voir les effets positifs des mesures que nous avons prises pour l'emploi." Mais avant de développer l'idée, Myriam El Khomri a ouvert sa venue par une visite au Centre Régional de Canoë-Kayak (CRFCK) à L'Argentière-la-Bessée, qui porte dorénavant une plaque à son nom pour célébrer les 20 ans de sa création.
A la rencontre des jeunes montagnards en formation
Myriam El Khomri a été accueillie en grande pompe au CRFCK. Sur le parvis, pour saluer la Ministre, une foule d'élus du territoire et du département se pressaient. Le directeur du Centre, Didier Lafaye, faisait visiter ses locaux, encouragé par une Ministre souriante. "Les apprentis sont les travailleurs de demain, c'est pourquoi la question de l'apprentissage et de la formation sont parties intégrantes de la politique pour l'emploi. L'apprentissage est un élément déterminant pour la reprise du travail et des embauches, mais on voit encore trop de centre vide, même lorsqu'il y a 100% d'embauches promises au bout. Il faut renforcer cette voie d'excellence, soulignait-elle.
« Ce centre va dans ce sens. Il est l'exemple type d'un centre qui marche, innovant, et unique dans le département. Il a su s'adapter à son temps, et ouvre la voie pour vivre et travailler au pays" appuyait Joël Giraud, avant de rappeler la thématique globale. "Depuis plus d'un an, nous avons pris le thème de la saisonnalité à bras le corps, avec différents acteurs des Hautes-Alpes, d'Isère et de Savoie. Nous nous félicitons que la ministre de l'emploi nous soutiennent activement." Et celle-ci de répondre : "J'ai reçu quantité de rapports sur la situation des saisonniers depuis que j'ai pris mes fonctions, on sent bien qu'ils sont un peu les "invisibles" du monde du travail. Il faut aujourd'hui redonner une définition à la saisonnalité, plus de clarté, et un vrai statut juridique qui sécurise les emplois, mais aussi et surtout les personnes."
A l'issu du discours, la ribambelle d'élus s'est rapprochée de la Durance pour rencontrer les concernés. Une vingtaine de stagiaires ont salué la Ministre, bien qu'aucun n'est approfondi le débat ou sa propre situation avec celle dite venue les comprendre. L'occasion a tout de même permis d'échanger sur les conditions de l'apprentissage et de l'emploi, avant une démonstration des sportifs.
Une sérieuse table ronde
Le point fort de la journée se déroulait à 14h, avec une table ronde réunissant différents élus, acteurs du monde du travail et partenaires sociaux du territoire, pour aborder la saisonnalité, la pluriactivité et l'employabilité dans le département. Avec un certains entrain ou une tension parfois mal dissimulée, chacun faisait part de sa vision des choses. La Ministre évoquait le milliard d'euros confié aux Régions, dont 81 millions au bénéfice de celle de PACA. "La convention est claire, 27 500 places supplémentaires doivent être donnés dans cette Région" soulignait-elle. Plus localement, les quelques 1 600 demandes à la création de PME initiées ces dernières années "prouvaient" l'efficacité du dispositif "Embauche PME". "Dans une entreprise ou une association de moins de 250 salariés, toute embauche d'au moins six mois, sous réserve d'un salaire égal ou inférieur à 1,3 smic, ouvre une aide de 500€ par trimestre à l'employeur. Cumulés au CICE et au pacte responsabilité, les charges patronales sont quasi-inexistantes! C'est aussi cela qui invite les employeurs à embaucher. Cette année, le Trésor évalue près de 60 000 embauches grâce à ce dispositif." Mais outre évoquer les mêmes rengaines pour défendre le travail en montagne, dans un climat économique et contexte tendu en France, les participants entendaient bien en savoir plus sur cette "loi travail", passée en forcing. "J'ai défendu cette loi mais j'étais contre l'utilisation du 49.3" prévenait Myriam El Khomri, avant de défendre son projet. L'un des objectifs de cette loi est aussi de renforcer la sécurité et la situation professionnelle des saisonniers. Ils auront droit à une formation qualifiante au sein des entreprises et pourront bénéficier de droits majorés pour l'atteindre. Les professionnels négocieront les possibilités de reconduction contractuelle. Cette loi permet l'évolution des emplois précaires, pour que l'embauche ne soit pas une contrainte mais une chance, dans l'intérêt des entreprises et des travailleurs." Et si certains ne semblaient pas convaincus et que l'opposition des syndicats reste évidente, elle tenait à souligner : "Les acteurs des entreprises doivent avoir plus de pouvoirs, parce que ce sont eux qui connaissent la réalité du terrain. Je suis pour le dialogue et la négociation collective, c'est même ce que prévoit cette loi. Je crois à une nouvelle démocratie sociale, on ne peut pas fonctionner sans les partenaires sociaux ni nouveaux droits sociaux."
La ministre ne faisait pas l'unanimité : Malgré une image de bonne foi, la Ministre ne faisait pas l'unanimité. S'il n'était qu'une dizaine de syndicalistes CGT a scandé leur indignation, Arnaud Murgia, président des Républicains 05, tenait a rappeeré la mésentente. Il évoquait, dans un communiqué : "Myriam El Khomri vient aujourd'hui dans les Hautes-Alpes donner des leçons aux hauts-alpins sur les contrats saisonniers alors qu'il y a 6 mois encore, elle ne savait plus le nombre légal de reconductions possibles de CDD. Sa Loi, qui aura réussi à faire l’unanimité, mais contre elle, restera dans les mémoires. Le constat est pourtant cruel : les mêmes qui veulent étendre la possibilité de recourir à l'activité partielle pour les régies non autonomes sont aujourd’hui ceux qui veulent en augmenter le nombre d'heures aux frais du contribuable en alourdissant les contraintes sur le secteur saisonnier. Pourtant, combien d’heures d’activité partielle ont été demandées par les domaines skiables ces deux derniers hivers aux douloureux lancements de saisons? Nous aurions plus à gagner à résoudre des dossiers qu’à faire le concours du meilleur soutien de François Hollande recevant ses Ministres. Quid des investissements en station, de l’adaptation aux aléas climatiques ou encore du marketing numérique ? Parce que pérenniser l’emploi saisonnier, c’est aussi sécuriser l’employeur : leur volonté d’étendre le CDD reconductible à tous les secteurs saisonniers en l’imposant aux accords de branches indépendamment des spécificités revient à contraindre encore et toujours un marché largement dépendant d’aléas. Notre modèle social n’a malheureusement plus rien ni d’un modèle ni de social."
Valérie Merle
Visite ministérielle de l’entreprise Alti Flore à Chabottes
La Ministre du travail Myriam El Khomri termine son déplacement par une visite de l’entreprise Alti Flore à Chabottes qui est, aujourd’hui, leader français dans la culture biologique, notamment dans la cueillette et la transformation de l’argousier. Alti Flore a bénéficié de l’aide « Embauche PME », créée le 18 janvier dernier. Cette aide concerne toute embauche ayant lieu entre le 18 janvier et le 31 décembre 2016, dans une entreprise de moins de 250 employés. Le montant de l'aide pour deux ans est égal à 4 000 € maximum pour un même salarié. Depuis le début de l’année, ce sont plus de 1600 demandes d’aide qui ont été formulées par 800 entreprises haut-alpines, les deux-tiers correspondant à des Contrats à Durée Indéterminée.
Grâce à cette aide Jean-François Gonfard, gérant de l’entreprise, a pu recruter deux CDI. Un recrutement qualifié de facile, grâce aux instructions du cabinet comptable et de la clarté de l’application rattachée à l’aide à l’embauche. Ayant le sentiment que l’Etat est derrière les petites entreprises, Jean-François Gonfard nourrit le dessein d’agrandir ses locaux, courant de l’année 2017, et d’embaucher une personne de plus, même si l’aide à l’embauche ne devait pas être reconduite l’année prochaine. Christine Mioletti, maire de Chabottes, se félicite de cette visite, symbole de la reconnaissance pour le travail fourni. « Ceux qui créent l’emploi aujourd’hui, ce sont les petites et moyennes entreprises, et nous nous devons d’être à vos côtés », affirmait Myriam El Khomri avant de partir."
La ministre du Travail est dans les Hautes-Alpes ce vendredi 2 septembre. Au bord du bassin d’eau-vive de L’Argentière-la-Bessée, Myriam El Khomri a défendu son action en faveur des travailleurs saisonniers. Elle en a profité pour fêter les 20 ans du Centre de formation régional de canoë kayak (CRFCK). Elle s'est ensuite rendue dans une petite entreprise de Chabottes, pour parler de l'aide à l'embauche dans les PME.
La voie olympique est tracée avec cette reconnaissance officielle du CIO, mais le chemin est encore long avant de voir la discipline intégrer le programme des Jeux olympiques. Réuni en session, le Comité international olympique a reconnu mardi soir à Rio pleinement la fédération internationale de ski-alpinisme (ISMF). Cette instance n’avait pour l’heure qu’une reconnaissance provisoire de deux ans.
Pas de date pour l’intégration aux Jeux d’hiver
Le président de la fédération internationale de ski alpinisme, Armando Mariotta, a confié dans un communiqué sa satisfaction à l’annonce de cette reconnaissance. “Nous sommes très fiers et c’est aussi une grande responsabilité. Je crois qu’il existe différentes raisons qui contribuent à ce résultat. Premièrement, le ski-alpinisme est un sport propre et durable et a toujours fonctionné de cette façon et nous avons également mis au point un plan de communication pour la prochaine saison.”
Reste maintenant à savoir quand le ski alpinisme pourra intégrer le programme olympique des Jeux d’hiver qui peut encore absorber des disciplines.
Joël Girauds’est félicité de cette nouvelle. Pour le député maire de l’Argentière « ce sport respectueux de l’environnement est un des atouts du développement économique et sportif des Hautes-Alpes et nos champions locaux, à l’image de Laetitia Roux, en sont de merveilleux ambassadeurs. Cette reconnaissance, préalable à l’inscription aux JO, un jour que nous espérons proche, fait déjà rêver tous les montagnards. »