M. Joël GIRAUD attire l
Il semblerait que seuls les professionnels (animalerie et commerçants non sédentaires) ont l'obligation d'identifier leur animaux pour les commercialiser alors que des particuliers cèdent ces petites mammifères par petites annonces sur des journaux gratuit ou par Internet sans tatouages ou transpondeur et pratiquant des prix cassés !
Ces pratiques créent une véritable situation de concurrence déloyale puisque le coût et la pose d'une puce électronique par un vétérinaire représentent environ 60€.
C'est pourquoi il lui demande quelles sont les intentions du gouvernement pour repenser les modalités d'une commercialisation harmonisée pour tous (identification, vaccination, passeport, certificat de sante et de vente, facture,) et quels pourraient être les moyens de contrôle au niveau départemental, ainsi que les sanctions appliquées pour les contrevenants et les éditeurs de journaux de petites annonces.
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Est-ce vraiment un problème?
Comme dans tous les domaines, la réglementation "à tout va" amplifie le besoin de "passer à côté" des règles existantes,et ce n'est pas en règlementant les conditions de vente des furets que les vendeurs amateurs ne continueront pas leurs vente, et cette fois-ci dans un "marché noir" devenu illégal.Commençons par aider les associations existantes (genre SPA) pour lutter contre toutes les horreurs,trafics d'animaux,etc...
Rédigé par : HUBERT | 20 septembre 2010 à 20:22