Dans un article polémique paru ce jour dans le Dauphiné Libéré mais aussi dans des interviews données à Alpes 1 et à la RAM, M. OLLIER conteste l’utilité et l’efficacité du député Joël GIRAUD.
Joël GIRAUD tient à lui rappeler que, par exemple, en permettant que les lois littoral et montagne ne se superposent plus et que les communes autour du Lac de Serre-Ponçon puissent enfin construire des stations d’épuration, il a réussi là où Patrick OLLIER avait échoué et renoncé...
...L’attitude de Patrick OLLIER n’honore pas la Présidence de l’Assemblée Nationale dont la fonction implique de défendre les valeurs républicaines en évitant de rabaisser et dénaturer le débat politique. Jean-Louis DEBRE, ancien Président, avait cette hauteur de vue. Son attitude n’honore pas non plus son ancienne fonction de Président de l’Association des Elus de la Montagne dont la règle commune implique de garder entre élus un respect mutuel.
M. OLLIER n’a sans doute pas digéré que, à la tribune de l’Assemblée Nationale, Joël GIRAUD ait reproché au député-maire de Rueil-Malmaison de « ne plus voir la politique de la montagne que du haut du Mont Valérien ».
Joël GIRAUD tient à lui rappeler que, par exemple, en permettant que les lois littoral et montagne ne se superposent plus et que les communes autour du Lac de Serre-Ponçon puissent enfin construire des stations d’épuration, il a réussi là où Patrick OLLIER avait échoué et renoncé. Joël GIRAUD a également obtenu une relance de l’activité économique en permettant que les refuges de montagne puissent accueillir à nouveau les mineurs…Un sujet que Patrick OLLIER n’avait, quant à lui, même pas soulevé à l’Assemblée Nationale. Les électeurs de la circonscription ne sont pas dupes et jugeront avec justesse de l’efficacité de leur député.
En dénonçant également l’absentéisme de Joël GIRAUD à l’Assemblée, M. OLLIER oublie de préciser qu’il s’agissait des réunions de la commission économique dont il était président. Lors de ces réunions, les groupes politiques de l’opposition avaient décidé d’envoyer un nombre limité de parlementaires devant l’absence de démocratie qui y régnait. Joël GIRAUD rappelle que les questions écrites et orales sont un des meilleurs moyens de mesurer le travail d’un parlementaire. Elles sont publiées au Journal Officiel et chaque citoyen peut le vérifier sur le site de l’Assemblée Nationale. Pendant cette législature, les députés ont posé en moyenne 227 questions. Joël GIRAUD en a posé 545 dont 8 orales et Patrick OLLIER 13 dont 8 orales. Certains devraient, donc pour Joël GIRAUD, avoir plus d’humilité.
L’attitude de Patrick OLLIER n’honore pas la Présidence de l’Assemblée Nationale dont la fonction implique de défendre les valeurs républicaines en évitant de rabaisser et dénaturer le débat politique. Jean-Louis DEBRE, ancien Président, avait cette hauteur de vue. Son attitude n’honore pas non plus son ancienne fonction de Président de l’Association des Elus de la Montagne dont la règle commune implique de garder entre élus un respect mutuel.
M. OLLIER n’a sans doute pas digéré que, à la tribune de l’Assemblée Nationale, Joël GIRAUD ait reproché au député-maire de Rueil-Malmaison de « ne plus voir la politique de la montagne que du haut du Mont Valérien ».
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