Député des Hautes-Alpes membre du groupe RRDP (Radical Républicain Démocrate et Progressiste)
Joël GIRAUD est membre titulaire du Conseil national pour le développement, l'aménagement et la protection de la montagne (Président de la Commission Permanente du CNM) et membre titulaire du Conseil national du tourisme.
Dans le cadre de sa fonction de député, Joël GIRAUD est membre de la Commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire. Il est également Président du groupe d'amitié France Italie, vice - président des groupes d’amitié France Chine et France Suisse et participe en qualité de vice-président aux groupes d’études aménagement du territoire, climatisme et thermalisme, politique de l’eau, en qualité de secrétaire aux groupes d’études montagne et question du Tibet et en qualité de membre aux groupes d’études économie sociale et solidaire, langues régionales, parcs nationaux et régionaux, tourisme trufficulture et zones et travailleurs frontaliers.
Joël Giraud, Député des Hautes-Alpes, a cosigné la proposition de résolution de 9 députés Radicaux de Gauche et assimilés pour que la France s’oppose à toute application du CETA et du TAFTA avant la consultation formelle du parlement français. En effet, le processus de ratification de l’accord de libre-échange avec le Canada - dit CETA - conclu en septembre 2014, ainsi que les négociations pour un traité transatlantique de libre-échange entre l’Union européenne et les États-Unis - dit TAFTA -, en cours depuis 2013, inquiètent légitimement les opinions publiques. En effet Joël Giraud ne souhaite pas remettre en cause la mondialisation, mais instaurer une mondialisation qui respecte les hommes et la nature avec des règles et par conséquent une régulation économique. Joël Giraud parle souvent de ce danger que représente le « business » à tout prix, la finance et la marchandisation généralisée et il conclut simplement que cela ne peut pas être la perspective de l’humanité. Ces traités, dits de nouvelle génération, privilégient les intérêts des grandes multinationales au détriment des États et des peuples. Ainsi en est-il du projet d’instaurer des tribunaux spéciaux, avec des arbitres privés au lieu de juges publics, pour soi-disant régler des différends entre les investisseurs et les États. Cela est une menace pour la souveraineté des États et des peuples et de leurs juridictions. La France, compte tenu de son rang en Europe et dans le monde, pourrait prendre une initiative forte pour que le CETA, accord fin prêt, ne puisse pas s’appliquer de manière provisoire, ce que souhaite au demeurant la Commission européenne, avant la ratification des parlements nationaux et afin de favoriser un débat public. En fait en novembre 2014 Joël Giraud, Député des Hautes-Alpes, avait déjà voté une résolution pour exiger la modification du texte. Pour son groupe cette application provisoire serait anti démocratique.
Le texte de cette résolution est téléchargeable sur l'adresse ci-dessous
Par Lucie PUYJALINET | Publié le 21/06/2016 à 06:00
Quand la fonction publique est malmenée, la ministre Annick Girardin vole à l’écoute des fonctionnaires des territoires enclavés. « J’ai passé la journée dans votre département à la suite de l’invitation de mon ami Joël Giraud et j’y ai vu des hommes et des femmes qui se battent, qui ne comptent pas leurs heures », a conclu la ministre alors qu’elle inaugurait hier, lors d’une visite ministérielle chargée, l’Ehpad Augustin Guillaume de Guillestre rénové. Infirmières et encadrants étaient présents pour faire état des difficultés de leur profession mais aussi de leur passion : « Pour faire ce métier il faut aimer l’humain. On voudrait pouvoir faire notre travail le mieux possible mais on court après le temps. » Des remarques qui touchent la ministre : « Je voulais connaître leur réalité. Cela montre que les fonctionnaires sont au travail. Ils sont un trait d’union entre l’État et les habitants. »
Elle a rappelé son investissement pour augmenter le point d’indice qui était gelé depuis 2010. De nombreuses personnalités locales comme le préfet Philippe Court ou le vice-président du département Patrick Ricou ont suivi la ministre lors de cette journée marathon.
De vrais couteaux suisses
La journée a débuté à 9 h 30 à la nouvelle Maison de santé du Valgaudemar. Un début de visite chaleureux et nature, à l’image de la ministre qui n’était pas là pour faire de la politique mais pour entrer en contact avec les acteurs du territoire : « Je connais bien les problématiques des lieux isolés car je viens d’un milieu insulaire (elle a été députée de la première circonscription de Saint-Pierre-et-Miquelon depuis 2007, NDLR). Je sais que c’est dans ce type d’endroits qu’on trouve de véritables couteaux suisses. » Les maires du Valgaudemar ont présenté cette Maison de santé « qui fonctionne depuis octobre avec quatre médecins et qui montre que le déclin des zones rurales n’est pas une fatalité. » Les équipes médicales ont pu faire visiter les locaux et exposer à la ministre leur travail quotidien : « Il y a encore un nombre important de visites à domicile, on est au contact des habitants. »
Chantal Eyméoud, vice-présidente à la Région, a rappelé : « La désertification médicale est un vrai sujet que l’ARS prend à bras-le-corps. »
Après être passée aux Costes et à Remollon (voir ci-contre), la ministre a rencontré gendarmes et sapeurs-pompiers qui œuvrent autour du lac de Serre-Ponçon. « On couvre les plages mais aussi le lac en lui-même grâce à un bateau et des secouristes. 14 noyades ont été évitées en 2015 », exposait le lieutenant-colonel Patrick Moreau du Sdis 05. Un bilan que la ministre a honoré en faisant un trajet en bateau sur le lac de Serre-Ponçon, petite entorse au programme qui illustre son « amour du département ».
La question du loup10 h 30 : la ministre quitte le Valgaudemar pour Les Costes dans le but de signer plusieurs conventions avec l’Agence d’ingénierie territoriale. Un rendez-vous plus intimiste où elle a été interpellée par les jeunes agriculteurs. « Il faut qu’elle montre le chemin à Mme Royal. On avait juste affiché le nombre de victimes du loup. Les affiches ont été enlevées, on est déçus », faisait remarquer Virginie Martin, représentante des jeunes agriculteurs sur le canton, avant d’ajouter : « On l’a aussi interpellé sur la Pac. »
À Remollon, avant l’inauguration de l’agence postale où on lui a présenté le système de visioconférence, la ministre a rencontré les apprentis de la fonction publique. « Je n’avais pas vraiment pensé à cette voie mais aujourd’hui, c’est une fierté », faisait remarquer l’un d’eux. « Le problème c’est que comme il y a un concours, cela décourage beaucoup de gens », ajoutait une autre. Le temps d’échange a permis de découvrir les profils très différents des apprentis : « Une force », selon la ministre qui a aussi donné la parole aux tuteurs, « des fonctionnaires qui font ce travail en plus de leurs tâches personnelles pour l’avenir de la fonction publique ».
La question du loup10 h 30 : la ministre quitte le Valgaudemar pour Les Costes dans le but de signer plusieurs conventions avec l’Agence d’ingénierie territoriale. Un rendez-vous plus intimiste où elle a été interpellée par les jeunes agriculteurs. « Il faut qu’elle montre le chemin à Mme Royal. On avait juste affiché le nombre de victimes du loup. Les affiches ont été enlevées, on est déçus », faisait remarquer Virginie Martin, représentante des jeunes agriculteurs sur le canton, avant d’ajouter : « On l’a aussi interpellé sur la Pac. »
LA PHRASE
Avec ces visites, on se rend compte que l’innovation dans les Hautes-Alpes, c’est une question de survie.
Joël Giraud député-maire de L’Argentière-La-Bessée
La question du loup10 h 30 : la ministre quitte le Valgaudemar pour Les Costes dans le but de signer plusieurs conventions avec l’Agence d’ingénierie territoriale. Un rendez-vous plus intimiste où elle a été interpellée par les jeunes agriculteurs. « Il faut qu’elle montre le chemin à Mme Royal. On avait juste affiché le nombre de victimes du loup. Les affiches ont été enlevées, on est déçus », faisait remarquer Virginie Martin, représentante des jeunes agriculteurs sur le canton, avant d’ajouter : « On l’a aussi interpellé sur la Pac. »
La ministre de la Fonction publique, Annick Girardin, se livre à une visite marathon dans les Hautes-Alpes, ce lundi et ce mardi matin. Cette visite s’articule autour de deux thématiques principales : les innovations pour remédier à la désertification rurale et le soutien aux services de sécurité. Après l’inauguration de la maison de santé du Valgaudemar, à Saint-Firmin, Mme Girardin a assisté à la signature de plusieurs conventions entre l’agence départementale IT 05 (Ingénierie territoriale) et quatre communes haut-alpines, puis s’est rendue à Remollon, où elle a rencontré des apprentis de la fonction publique avant d’inaugurer la nouvelle agence postale. Ce lundi après-midi, elle a rencontré les gendarmes et les sapeurs-pompiers en charge de la sécurité sur le lac de Serre-Ponçon, puis inauguré l’Ehpad Guil-Ecrins à Guillestre. Elle quittera le département ce mardi matin par une visite du poste frontière de Montgenèvre.
A Saint-Firmin, la ministre a visité la pharmacie puis la maison pluridisciplinaire de santé du Valgaudemar, qui a ouvert ses portes il y a huit mois. Guidée par le Dr Zecconi, l’une des chevilles ouvrières de ce projet et ancien conseiller général, elle a rencontré des patients et des professionnels de santé et les a questionnés. « Nous sommes dans des territoires où la visite chez les patients reste essentielle », a souligné le Dr Zecconi. « Pour les médecins, cela représente 15 à 30% des consultations, et c’est plus de la moitié pour les infirmières et les kinés. Ces visites sont indispensables. » Et ce d’autant plus que « c’est aussi une façon de découvrir l’environnement de vie du patient », a ajouté une de ses consoeurs. « Le message est passé », a noté le député Joël Giraud. « C’est l’occasion, sinon ça ne sert à rien de venir », a commenté Mme Girardin, qui est allé dans le sens de l’observation du Dr Zecconi.
En inaugurant la maison de santé, Alain Freynet, maire de Saint-Firmin, est revenu sur « les études et les Cassandre, qui n’ont pas manqué pour prédire la fin des paysans, la fin de nos villages… C’était sans compter sur la volonté des habitants de cette vallée. » Daniel Alluis, président de la communauté de communes du Valgaudemar, a détaillé ce qu’a permis cette « structure indispensable », avec la présence d’une pharmacie, de quatre médecins, d’un cabinet d’infirmières, d’un podologue qui intervient une fois par semaine et d’un cabinet de kinésithérapeutes, qui va prochainement s’installer sur un terrain attenant. Grâce aux trois maisons de santé du Champsaur-Valgaudemar et au pôle de santé qui couvre l’ensemble de ce secteur, « ce sont dix jeunes médecins qui ont posés leur plaque dans nos vallées », s’est félicité le Dr Zecconi, qui va lui-même bientôt prendre sa retraite.
« Dans ces territoires isolés, on trouve toujours des solutions »
« Seul ce type d’organisation peut permettre de répondre au sujet de la désertification médicale », a rappelé Chantal Eyméoud, vice-présidente de la Région, qui a cofinancé cette création. « Cela permet de maintenir des populations en toute sécurité, mais c’est aussi un atout pour accueillir des touristes. » Le député Joël Giraud a d’ailleurs estimé que « ce sont des territoires spécifiques pour lesquels il faut des réponses spécifiques. C’est tout l’enjeu de l’acte 2 de la loi Montagne en cours de préparation. Si nous avons pu faire autant de maisons de santé dans les Hautes-Alpes, c’est grâce à la souplesse de l’Etat sur les normes. »
Annick Girardin a fait le parallèle entre sa terre d’élection, Saint-Pierre-et-Miquelon, et les territoires de montagne : « Nous sommes tous des territoires isolés. Nous avons des inquiétudes sur leur attractivité. Mais dans ces territoires, on trouve toujours des solutions. »
Quelques kilomètres plus loin, aux Costes, c’est aussi une réponse innovante au désengagement de l’Etat dans l’assistance à la maîtrise d’ouvrage des communes, notamment les plus petites, que la ministre a pu découvrir. Avec l’agence IT 05, « le Département aide les communes sur différents points, qu’il s’agisse de l’eau, de l’assainissement, de l’irrigation… », a expliqué Marc Viossat, vice-président du conseil départemental. « Le Département a un rôle de solidarité et de proximité. »
En présence de Mme Girardin, M. Viossat a signé des conventions avec les maires de L’Argentière-la-Bessée, Puy-Sanières, Saint-Michel-de-Chaillol et Les Costes pour assister ces communes dans leur maîtrise d’ouvrage et leur recrutement de maître d’oeuvre pour l’élimination de fuites dans le réseau d’eau potable, l’assainissement collectif, la voirie ou la reconstruction d’un mur de soutènement effondré. Ce faisant, « l’objectif est que le projet se réalise dans les meilleures conditions techniques et financières, ce qui entre aussi dans la bonne utilisation des fonds publics », a remarqué Patrick Ricou, conseiller départemental du Champsaur et 1er vice-président du Département.
« Je suis ici pour montrer que l’Etat est aux côtés des territoires très isolés »
Tout en se félicitant de cette « première visite d’une représentante du gouvernement dont on se souviendra longtemps », le maire des Costes, Joël Nouguier, n’a pas manqué de regretter « la baisse des dotations de l’Etat, même si nous comprenons aussi les difficultés actuelles ». M. Ricou l’a également souligné de manière plus appuyée, en évoquant les bourses accordées à 25 étudiants en médecine effectuant leur stage dans les Hautes-Alpes ou le dispositif des « Visio rendez-vous » permettant d’avoir des entretiens depuis 24 lieux du département avec 31 services publics. « Nous le faisons dans des conditions financières très difficiles », a-t-il rappelé. « Et nous avons trop souvent l’impression d’être les exécutants de décisions qui nous sont imposées. »
« Ma première méthode de fonctionnement, c’est de venir sur le terrain », a répondu Annick Girardin. « Je sais combien c’est compliqué et pour le gouvernement, et pour les collectivités. Des travaux et des réflexions sont menés et je souhaite qu’on parvienne à des solutions. Je suis ici pour montrer que l’Etat est aux côtés des territoires très isolés. Il faut chercher des adaptations de toutes les normes nationales et européennes. » Reprenant sa casquette de ministre de la Fonction publique, elle a aussi déclaré être « aux côtés des fonctionnaires dans une période très compliquée. Il nous faut une fonction publique exemplaire, prête à relever l’ensemble des défis. »
Le déplacement ministériel s’est poursuivi à Remollon, où Mme Girardin a présidé une table ronde avec de jeunes apprentis de la fonction publique. Puis elle a inauguré la nouvelle agence postale du village, au côté du maire, Bernard Allard-Latour, avant de participer à une démonstration de « visio rendez-vous ».
POLITIQUE / La Ministre de la Fonction Publique, Annick Girardin, est venue rassurer les élus sur le fait que les territoires isolés ne sont pas oubliés par l'État et le Gouvernement
La Ministre de la Fonction Publique, Annick Girardin, dans les Hautes-Alpes. Après une première journée d’inaugurations et de rencontres ce lundi, elle se rend ce mardi au col de Montgenèvre, pour assister aux contrôles aux frontières. Annick Girardin venue dans les Hautes-Alpes, pour parler de l’importance de la présence des fonctionnaires en territoire de montagne afin d'assurer la continuité de la République. Un territoire qui doit s’adapter au quotidien.
Isolées, les Hautes-Alpes doivent s’adapter
Annick Girardin, la Ministre de la Fonction Publique est venue à Saint-Firmin débuter sa visite des Hautes-Alpes par l’inauguration de la Maison de Santé pluridisciplinaire. Un projet que la Communauté de communes a porté en maitrise d’ouvrage, financé par les collectivités, la Région, l’État et l’Europe pour 700.000 euros. Une maison qui héberge une pharmacie et où travaille quatre médecins, avec plusieurs infirmières en rotation.
Un moyen de lutter contre le désert médical. « Les territoires isolés sont des territoires, souvent, qui innovent, qui portent des expérimentations, que l’on peut d’ailleurs généraliser ensuite », indique sur Alpes 1 Annick Girardin. « Nous voulons, effectivement, que dans l’ensemble des territoires français, notamment ceux qui ont la nécessité de s’adapter à des conditions spécifiques comme ici, peuvent le faire avec le soutien du Gouvernement, de l’État, financièrement. »
L’État n’oublie pas les Hautes-Alpes
Rassurer les élus locaux, c'était l’objectif de la Ministre, habituée aux territoires isolés car originaire de Saint-Pierre-et-Miquelon. Annick Girardin qui assure que l’État reste engagé dans les Hautes-Alpes. « Nous vivons dans des territoires isolés, où la température varie énormément, où la densité en population peut varier selon les périodes, avec des moments d’hiver où des personnes sont totalement isolées. Il faut pouvoir apporter des réponses dans ces cas-là. Il faut venir soutenir l’ensemble de ces acteurs de terrain. »
La Ministre de la Fonction Publique a pris connaissance de l’Agence d’Ingénierie départementale IT 05. Elle a aussi inauguré l’Ehpad de Guillestre, mais également participé à une table-ronde avec des apprentis embauchés dans la Fonction Publique. Une réunion qui s’est tenue à Rémollon.
La Fonction Publique, c’est aussi la sécurité
La Ministre de la Fonction Publique, Annick Girardin, a également rencontré ce lundi les pompiers et gendarmes qui œuvreront cet été sur le Lac de Serre-Ponçon. La Ministre qui se rend ce mardi auprès de la Police aux Frontière, au col de Montgenèvre. « On sait bien que, dans des territoires comme ceux-ci où il y a beaucoup de risques, il faut que les citoyens puissent vivre également en sécurité, qu’on puisse répondre là-aussi aux besoins. »
Vous le savez, la ministre de la Fonction Publique Annick Girardin a visité les Hautes-Alpes en ce début de semaine. Elle était même arrivé deux jours plus tôt, afin de profiter au mieux des paysages qu'offre notre département. Interview sur les sujets d'actualité du moment avec Jean-Marc Passeron :
C'est un bilan positif, pour la ministre Annick Girardin, ministre de la Fonction Publique, en déplacement dans les Alpes du Sud. A la rencontre des fonctionnaires, durant une journée elle était là pour les écouter :
En milieu d'après-midi ce lundi, la ministre de la Fonction Publique Annick Girardin s'est rendu à Savines le Lac pour rencontrer les gendarmes et sapeurs-pompiers de la surveillance nautique de Serre Ponçon. Elle a pu discuter avec leurs représentants et a constaté le niveau de sécurité élevé sur le lac :
La ministre de la Fonction Publique, Annick Girardin, sera don en visite ce lundi 20 juin et ce mardi 21 juin dans les Hautes-Alpes à l'invitation du député PRG Joël Giraud. Une visite "marathon" sur la quasi totalité de la circonscription du député Giraud...un joli coup pour lui à un an jour pour jour des prochaines élections législatives...
Au menu entre autre:
Inauguration de la maison de santé de Saint-Firmin en Valgaudemar et passage au point services publics de Remollon,inauguration de l'EHPAD de Guillestre et plusieurs rencontres avec notamment la brigade nautique du lac de Serre Ponçon et la police aux frontières.
Le programme:
Lundi 20 juin 2016
09h30: Inauguration de la Maison de Santé du Valgaudemar 10h30: Signature de conventions avec l’Agence d’Ingénierie Territoriale (IT05) Mairie des Costes 12h05 : Table ronde et échanges avec des apprentis en poste dans la Fonction Publique Mairie de Rémollon 12h30 : Inauguration de l’Agence postale communale de Rémollon 14h45: Rencontre avec les gendarmes et pompiers en poste sur le lac de Serre-Ponçon 15h45 : Inauguration de l’Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) Guil Écrins Augustin Guillaume de Guillestre
17h15 : Visite du Centre Hospitalier d'Aiguilles
Mardi 21 juin 2016
08h35 : Contrôle avec les policiers de la Police Aux Frontières au Col de Montgenèvre