Député des Hautes-Alpes membre du groupe RRDP (Radical Républicain Démocrate et Progressiste)
Joël GIRAUD est membre titulaire du Conseil national pour le développement, l'aménagement et la protection de la montagne (Président de la Commission Permanente du CNM) et membre titulaire du Conseil national du tourisme.
Dans le cadre de sa fonction de député, Joël GIRAUD est membre de la Commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire. Il est également Président du groupe d'amitié France Italie, vice - président des groupes d’amitié France Chine et France Suisse et participe en qualité de vice-président aux groupes d’études aménagement du territoire, climatisme et thermalisme, politique de l’eau, en qualité de secrétaire aux groupes d’études montagne et question du Tibet et en qualité de membre aux groupes d’études économie sociale et solidaire, langues régionales, parcs nationaux et régionaux, tourisme trufficulture et zones et travailleurs frontaliers.
Publication du Dauphiné Libéré du Jeudi 9 février 2017
HAUTES-ALPES Chenille processionnaire : une sensibilisation à l’école
Les chenilles processionnaires sont toujours très présentes dans le département des Hautes-Alpes et elles représentent un danger sanitaire potentiel.
La LPO Paca a décidé de lancer une action afin de sensibiliser les enfants des écoles du département aux problématiques de la chenille processionnaire. Ils apprendront à la reconnaître, à comprendre son cycle et les raisons de sa progression en altitude, ce qui constituera une illustration palpable du réchauffement climatique. Ils apprendront à les éviter pour éliminer tout risque de désagrément mais aussi les différentes méthodes pour lutter contre leur développement.
Lors d’ateliers, ils fabriqueront des nichoirs pour favoriser la nidification de la mésange charbonnière qui est un des principaux prédateurs de la processionnaire.
Ces actions sont possibles grâce à l’attribution par le député Joël Giraud, d’un soutien à la LPO Paca dans le cadre de sa réserve parlementaire.
Elles seront réalisées en étroite coopération entre le Groupe Local Écrins Embrunais de la LPO et les enseignants.
ÉDUCATION / Inquiété par un document de travail, le syndicat SNUipp 04 avait alerté les élus locaux sur la possible fusion des académies des Alpes du Sud. Aujourd’hui par l’intermédiaire de Joël Giraud, la Ministre de l’Éducation tente de rassurer.
- Alpes du Sud -
Le 18 janvier dernier, le syndicat SNUipp 04 alertait sur les dangers d’une possible fusion des inspections d’académies des Hautes-Alpes et des Alpes de Haute-Provence, s’appuyant sur des documents de travail préparant le prochain comité technique de la carte scolaire.
Aujourd’hui le député (PRG) des Hautes-Alpes, Joël Giraud, alerté par cette possible fusion, rend public un courrier signé de la Ministre de l’Éducation, Najat Vallaud-Belckacem en réponse à cette inquiétude.
Dans ce courrier, Najat Vallaud-Belkacem fait savoir au parlementaire qu’un « rapprochement de cette nature n’est actuellement pas à l’ordre du jour ». La Ministre précise toutefois que « le recteur de l’académie Aix-Marseille travaille à une meilleure coopération entre les inspections académiques de ces deux départements ».
Extrait du quotidien de l'économie, de l'automobile et de la Provence Pacainfoeco du 8 février 2017
AUTO & ALPES DU SUD : la future loi Montagne 2 devance l’appel & en action dès aujourd’hui
la passion de l'automobile dans une France devenue politiquement AUTOPHOBE
lundi 6 fevrier 2017 – pacainfoeco.com – On pourra constater qu’en avance de plusieurs mois sur le calendrier d’application sur la future « loi montagne 2 », la préfecture des Hautes Alpes et plus généralement dans les alpes du sud, les autorités régionales appliquent déjà des nouvelles mesures contraignantes pour les automobilistes mais la sécurité n’a pas de prix, surtout face à la légèreté de certains conducteurs.
Alors que de nombreux accidents ont eu lieu ce week-end, sur des routes enneigées, par des véhicules non équipés, la question de l’obligation des équipements spéciaux revient sur le devant de la scène. Et nouveauté cette année, grâce à l’Acte 2 de la Loi Montagne, les équipements spéciaux sont, de faits, déjà rendus obligatoires dès ce jour : « Il y avait un vrai problème en France. Nous étions un des rares pays en Europe à ne pas avoir résolu la problématique des équipements spéciaux dans une réglementation, une réglementation qui date de plus de 50 ans », a souligné chez Alpes 1 : Joël Giraud, le député PRG des Hautes-Alpes.
De l’obligatoire temporaire…
Grâce à son combat de plusieurs mois, il a obtenu que « depuis le 28 décembre, on pourra sortir un décret permettant d’obliger les usagers d’avoir, pour une certaine période de l’hiver et suivant le secteur, d’avoir les équipements spéciaux ». Une possibilité dont a profité le préfet des Hautes-Alpes ce week-end, imposant les équipements spéciaux à tous les véhicules, alors que la neige tombait et que les vacances de la Zone C débutaient.
C’est en 2015 que Joël Giraud dépose une proposition de loi visant « à rendre obligatoire l’équipement hivernal des véhicules sur tout ou une partie du territoire dans un massif », mais cette proposition est retoquée par le Gouvernement. Mais le Sénat n’est pas de cet avis et vote un amendement qui va dans le sens du député montagnard. L’amendement de la Loi Montagne est alors acté. Les préfets peuvent imposer temporairement le port d’équipements spéciaux : pneus neige, chaines ou chaussettes homologués UE.
… à l’obligation permanente
Pour l’hiver prochain, l’obligation des équipements spéciaux doit devenir permanente. Des zones seront définies, là où les équipements sont indispensables tout l’hiver. Ce décret sera soumis à l’avis des Comités de Massifs et validé par le Conseil national de la Sécurité Routière d’ici l’été prochain. « Enfin, nous arrivons à une réglementation large et conforme à celle de l’Union européenne », se satisfait le député Joël Giraud. Une « bonne nouvelle » pour Marcel Cannat, le conseiller départemental des Hautes-Alpes en charge des routes. Dans un communiqué, il regrette les nombreux incidents ce week-end, notamment avec des cars non équipés pour rouler sur neige.
Les préfets peuvent déjà imposer les équipements spéciaux temporairement, mais la loi doit les imposer de façon permanente dès l’hiver prochain.
L’Argentière-la-Bessée - La maison haut-alpine ouvrait ses portes ce week-end 29 métiers accessibles avec les Compagnons du devoir
A l'Argentière-la-Bessée 29 métiers accessibles avec les compagnons du devoir
Les journées portes ouvertes des Compagnons du devoir se sont déroulées les vendredis 27, samedi et hier.
Comme chaque année, les maisons de Compagnons ont ouvert leurs portes afin de faire découvrir les formations, les six filières métiers ainsi que leurs valeurs.
Les jeunes ont pu se faire présenter : le parcours “apprentissage” (pour les collégiens et les lycéens) ; le parcours “prépa métier” (pour les bacheliers généraux/technologiques et les étudiants désireux de se réorienter) ; le parcours “prépa tour de France” (pour les bacheliers pro et plus, ayant déjà une première formation à un métier ou titulaires d’un CAP).
Nés au Moyen-Âge, les Compagnons, qui rassemblaient autrefois des corporations d’artisans de talent, forment aujourd’hui une association investie dans la formation des jeunes.
25 métiers qui ne connaissent pas le chômage
Elle propose aux 16 à 25 ans (au minimum de niveau 3e ) d’acquérir une première formation professionnelle dans 25 métiers : boulanger, pâtissier, chaudronnier, carrossier, mécanicien de précision, tapissier, charpentier… Des métiers qui recrutent. Ils peuvent préparer un CAP ou un bac pro pour commencer, puis éventuellement un brevet professionnel, une mention complémentaire, BTS ou licence pro.
Chez les Compagnons, l’apprentissage est la règle. Ils alternent six semaines en entreprise, et deux semaines en centre de formation d’apprentis (CFA). Priorité au terrain : chez eux, on croit d’abord à la transmission des savoir-faire des anciens aux jeunes.
L’apprenti compagnon n’apprend pas seulement avec son maître d’apprentissage. Durant les périodes de formation théorique, il peut séjourner dans une “maison” des Compagnons où se côtoient apprentis, formateurs, anciens ou “itinérants”, en train de faire leur tour de France. Dans ces “maisons” placées sous la responsabilité d’un “prévôt”, on apprend l’importance du respect, de la rencontre, du partage d’expérience, de la fraternité. Les Compagnons, c’est un peu une grande famille où l’humain et le savoir être sont aussi importants que le travail.
Le centre de formation de L’Argentière-la-Bessée propose une formation aux métiers de charpentier, menuisier/ébéniste, maçon et plombier. Néanmoins, un jeune du département qui voudrait engager une des 25 autres formations peut très bien trouver une entreprise locale et faire ses deux semaines en CFA ailleurs, tout en étant accueilli dans une maison de Compagnons.
Pour contacter les Compagnons du devoir de L’Argentière, se rendre au 403, avenue du Général de Gaulle ou téléphoner au 04 92 23 09 62.
ÉDUCATION / Une annonce faite par Bernard Beignier au député PRG des Hautes-Alpes Joël Giraud
- Alpes du Sud -
Rapprochement des Inspections Académiques des Hautes-Alpes et des Alpes de Haute-Provence : le projet serait abandonné selon le député PRG des Hautes-Alpes Joël Giraud. Après son courrier envoyé à la Ministre de l’Éducation Nationale, Najat Vallaud-Belkacem, le recteur d’Académie a indiqué au Parlementaire que ce projet « de nomination d’un seul directeur des services académiques pour les deux départements et non de fusion » était abandonné. Joël Giraud se montre vigilant et attend néanmoins une confirmation du Ministère. Pour rappel, plusieurs syndicats s’étaient inquiétés à ce sujet, après la transmission d’un document de travail préliminaire à la réunion de mardi prochain avec le Rectorat à Aix-en-Provence.
Un projet de fusion des inspections académiques Hautes-Alpes/Alpes-de-Haute-Provence était à l'étude par le Gouvernement avec pour objectif de nommer un seul et unique directeur académique pour les deux départements. Une idée pour laquelle certains parlementaires ont fait était de leur opposition.
C'est le cas de la sénatrice Patricia Morhet-Richaud, qui a déclaré par voie de communiqué : « Je ne pense pas qu’une nouvelle organisation administrative soit de nature à tendre vers un objectif plus qualitatif de l’enseignement scolaire » ou encore du député des Hautes-Alpes Joël Giraud qui a écrit à Najat Vallaud-Belkacem la ministre de l’Education nationale pour lui demander de « surseoir immédiatement » à ce projet. Suite à cette lettre adressée par Joël GIRAUD, le Recteur d’Académie Bernard Beigner a indiqué au député maire de L’Argentière-la-Bessée que ce projet, « qui n’était pas un projet de fusion des 2 services mais de nomination d’un seul directeur des services académiques pour les 2 départements » est abandonné. Le député PRG attend toutefois une confirmation définitive du ministère en ce sens et estime désormais la menace écartée.
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