COMMUNIQUÉ DE PRESSE de Joël Giraud
C'est sous l'égide du Comité de Massif des Alpes, réuni en 2014 à Forcalquier à l'initiative de ses co-présidents le Préfet Michel Cadot et le député Joël Giraud, que la Région Rhône-Alpes représentée par sa vice-présidente déléguée aux transports, la sénatrice de l'Isère Éliane Giraud, avait présenté le plan de sauvetage des petites lignes abondé à hauteur de 80 millions d'euros pour le territoire de Rhône-Alpes avec une priorisation pour les lignes interrégionales cofinancées, ce qu'avait confirmé en séance le vice-président des transports de PACA Jean-Yves Petit. Après un effet d'annonce de fermeture de ces 2 lignes en 2018 et 2020, le nouveau président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes a donc rétabli les 80 millions prévus par ses prédécesseurs, en les abondant de 30 millions pour la partie auvergnate, qui en 2014 était une région indépendante.
« Tout ça pour ça » remarque Joël Giraud, « la survie des voies ferrées avait-elle besoin de coups d'esbroufe médiatiques pour en revenir à la situation initialement prévue, ce sont ces discours politiciens que les Français ne supportent plus car on joue avec leurs nerfs....et ils ont raison ».
Article lu sur DICI Alpes du Sud, publié par Barbara Tornambé le
Alpes du Sud : "La survie des voies ferrées n'a pas besoin de coups d'esbroufe médiatiques" pour Joël Giraud
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C'est sous l'égide du comité du Massif des Alpes, réuni en 2014 à Forcalquier à l'initiative de ses co-présidents le préfet Michel Cadot et le député Joël Giraud, que la région Rhône-Alpes avait présenté le plan de sauvetage des petites lignes abondé à hauteur de 80 millions d'euros. Après un effet d'annonce de la fermeture des lignes Grenoble-Gap et Valence Gap-Briançon en 2018 et 2020, le nouveau président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a décidé de rétablir ces 80 millions d'euros prévus par ces prédécesseurs, en les abondant de 30 millions pour la partie auvergnate.
Le député Joël Giraud a quant à lui réagit à cette décision: "La survie des voies ferrées avait-elle besoin de coups d'esbroufe médiatiques pour en revenir la situation initialement prévue, ce sont des discours politiciens que les Français ne supportent plus car on joue avec leurs nerfs... et ils ont raison".
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