Jusqu’à présent, les indemnités de fonction des députés et des ministres n’étaient pas imposables. Une situation très ancienne datant de l’époque où il n’existait pas de système de financement des collaborateurs et des permanences des parlementaires. Le groupe socialiste, les radicaux de gauche et les centristes (UDI) ont massivement voté, dans un souci d’équité, ces dispositions fiscales. Seul le groupe Les Républicains s’y est fortement opposé estimant démagogique la suppression de cet avantage fiscal.
Commentaires