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  • Député des Hautes-Alpes membre du groupe RRDP (Radical Républicain Démocrate et Progressiste)
    Joël GIRAUD est membre titulaire du Conseil national pour le développement, l'aménagement et la protection de la montagne (Président de la Commission Permanente du CNM) et membre titulaire du Conseil national du tourisme. Dans le cadre de sa fonction de député, Joël GIRAUD est membre de la Commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire. Il est également Président du groupe d'amitié France Italie, vice - président des groupes d’amitié France Chine et France Suisse et participe en qualité de vice-président aux groupes d’études aménagement du territoire, climatisme et thermalisme, politique de l’eau, en qualité de secrétaire aux groupes d’études montagne et question du Tibet et en qualité de membre aux groupes d’études économie sociale et solidaire, langues régionales, parcs nationaux et régionaux, tourisme trufficulture et zones et travailleurs frontaliers.

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02 avril 2015

Commentaires

Lionel Tassan

Bonjour M. Giraud. Ce qui risque de tuer la liberté comme vous dites, ce ne sont pas ceux que vous appelez des inconscients mais bien les gens qui ont votre discours. Je ne peux pas croire qu'un amoureux de la montagne puisse parler de la sorte. A partir de quel moment définissez-vous l'inconscience ? Au-delà d'un certain niveau d'avalanche, lui-même aléatoire et prévisionnel, sur quels critères ? La montagne est un terrain a priori dangereux. Certes, il y a des situations plus délicates que d'autres mais où situez-vous cette limite ? Parce que si c'est pour le faire après un accident, alors je trouve que c'est un peu facile. Trente morts par an en France dans les avalanches. C'est trente de trop assurément. Mais ce chiffre reste stable malgré la hausse de la fréquentation ces dernières années. Si nous nous occupions des vrais problèmes en France et laissions les gens qui ont décidé d'avoir une vie saine la vivre tout simplement ? Merci d'y réfléchir. Cordialement.

Christine Reynaud

Une instruction sera automatiquement diligentée, si je ne m'abuse ? Dans l'attente de ses conclusions, une certaine réserve n'est-elle pas de mise, surtout de la part d'élus ? Il appartient aux experts de se prononcer sur les responsabilités.

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