Député des Hautes-Alpes membre du groupe RRDP (Radical Républicain Démocrate et Progressiste)
Joël GIRAUD est membre titulaire du Conseil national pour le développement, l'aménagement et la protection de la montagne (Président de la Commission Permanente du CNM) et membre titulaire du Conseil national du tourisme.
Dans le cadre de sa fonction de député, Joël GIRAUD est membre de la Commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire. Il est également Président du groupe d'amitié France Italie, vice - président des groupes d’amitié France Chine et France Suisse et participe en qualité de vice-président aux groupes d’études aménagement du territoire, climatisme et thermalisme, politique de l’eau, en qualité de secrétaire aux groupes d’études montagne et question du Tibet et en qualité de membre aux groupes d’études économie sociale et solidaire, langues régionales, parcs nationaux et régionaux, tourisme trufficulture et zones et travailleurs frontaliers.
La dérogation pour les cours d'eau méditerranéens sera définitivement actée par décret en octobre suite au rapport de Joel Giraud.
Dans l'attente le Ministère de la Transition Écologique reconduit les mesures provisoires permettant de préserver notamment l'irrigation des vergers dans les zones sèches de la basse Durance et du Buech et a adressé aux services de l'État des départements concernés une instruction.
HAUTES-ALPES Françoise Nyssen, ministre de la Culture, attendue début août
L’agenda ministériel n’est pas encore rendu public, mais l’invitation lancée par le député de la 2e circonscription, Joël Giraud (PRG, soutien de la majorité présidentielle), a reçu un accueil favorable. La ministre de la Culture, Françoise Nyssen, ancienne éditrice d’Actes Sud, est attendue le vendredi 4 août dans les Hautes-Alpes. Elle devrait se rendre au pôle culturel “Le XXe ” de Savines-le-Lac pour l’inauguration du site et son Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine (Ciap) consacré à l’architecture du XXe siècle – l’un des seuls. Puis, la ministre est attendue au festival de Chaillol pour souligner l’ancrage au territoire rural.
Publié par Anthony PITON le ven, 21/07/2017 - 17:59
L'association Regards citoyens qui fait de la transparence démocratique son cheval de bataille a pris contact avec les députés de la précédente législature pour qu'ils communiquent leurs relevés bancaires liés à leurs dépenses en tant que parlementaires. Vous le savez, le projet de loi de moralisation de la vie publique promis par Emmanuel Macron prévoit entre autres de réformer le système des frais de mandat qui pour l'heure est totalement opaque. Sept députés ont accepté de dévoiler leur frais de mandat dont Joël Giraud, le député PRG-LREM des Hautes-Alpes. Parmi les principales dépenses citées par L'association Regards citoyens: les frais de déplacement comme des billets de trains entre leur circonscription et Paris, des taxis ou des péages et des déjeuners achetés sur des aires d'autoroute. D'autres dépenses, figurent sur les lignes des relevés comme des frais de bouche ou des dépenses en fleurs pour les cérémonies officielles ainsi que des visites chez le coiffeur.
Cette initiative permet de mettre en lumière l'utilisation au quotidien des frais de mandat des parlementaires.
Sept députés ont rendu publics les relevés bancaires de leurs frais de mandat ce jeudi. Cette démarche inédite vise à «mieux faire comprendre aux citoyens la légitimité de ces frais», selon l’association Regards citoyens, qui lutte pour la «transparence démocratique».
Sur les 577 députés de la quatorzième législature, qui a pris fin en juin, seuls Brigitte Allain (ancienne députée EELV de Dordogne), Isabelle Attard (ancienne députée DVG du Calvados), Jean-Luc Bleunven (ancien député DVG du Finistère), Joël Giraud (député PRG des Hautes-Alpes), Régis Juanico (député PS de la Loire), Dominique Raimbourg (ancien député PS de Loire-Atlantique) et Barbara Romagnan (ancienne député PS du Doubs) ont accepté de se prêter à la démarche. Ils ont ainsi dévoilé les frais ayant trait à leur indemnité représentative de frais de mandat (IRFM). Cette dernière, d'un montant brut de 5600 euros par mois, est destinée à couvrir leurs frais de représentation et ne fait aujourd'hui l'objet d'aucun contrôle.
Des déplacements incessants
Billets de train, coiffeur, frais de bouche… : «Les relevés dévoilent l'activité financière assez classique d'un-e député-e», assure l’association dans un communiqué. En se plongeant dans ces relevés de compte, on tombe par exemple sur d'innombrables frais de péages, taxis, hôtels, signes des incessants déplacements des députés et autres allers-retours entre l’Hémicycle et leurs circonscriptions. Mais aussi sur de très nombreux remboursements de repas. «Les député-e-s ayant régulièrement des rendez-vous à l'heure du déjeuner, il serait inquiétant en terme de lutte contre les conflits d'intérêts (qu’ils se voient) inviter par les lobbyistes rencontrés», justifie Regards citoyens.
Difficile, somme toute, de trouver de quoi redire dans cette masse de dépenses en tout genre. Sur le mode léger, tout juste peut-on remarquer que : Isabelle Attard est abonnée à Mediapart et à Ouest France quand Jean-Luc Bleunven n’est, lui, fidèle qu’au grand quotidien de l’ouest ; que Régis Juanico ne s’interdit pas de faire ses provisions au Lidl à l'occasion ; ou encore que Barbara Romagnan a honoré une dizaine de rendez-vous chez le coiffeur en deux mois et demi.
«La publication de ces relevés de compte (...) montre que les député-e-s ont tout à gagner à jouer le jeu de la transparence», insiste Regards citoyens, qui espère «que ces sept député-e-s pionniers et pionnières de la 14e législature inspireront leurs nouveaux collègues».
Une opacité totale
Le projet de loi de moralisation de la vie publique promis par Emmanuel Macron, qui compte notamment réformer le système des frais de mandat, est actuellement étudié en commission. Pour l’heure, l'opacité reste cependant totale sur l'ensemble des procédures relatives à ces derniers.
L’Assemblée fait notamment confiance à ses troupes pour rendre leur part d’indemnités non utilisées en fin de mandat. Jusqu’à présent, ceux-ci étaient seulement priés d’attester «sur l’honneur» qu’ils respectaient bien les règles d’utilisation de ce qui représente, au total, 66 millions d’euros de fonds publics par an.
Voir le site de D!CI Tv : http://www.dici.fr/actu/2017/07/20/hautes-alpes-joel-giraud-n-empruntera-plus-train-de-nuit-paris-briancon-1033925
"Pourquoi je n'emprunterai plus le train de nuit Paris-Briançon". C'était la goutte de trop pour Joël Giraud, le député des Hautes-Alpes. Ce jeudi, il a décidé d'écrire un courrier à Guillaume Pépy, le président du directoire de la SNCF mettant en cause la gestion dans la Drôme. Un courrier écrit depuis ce même train avec trois heures de retard. "La gestion des incidents sur ce train dans le ressort de la SNCF de Valence est devenue tellement catastrophique que ce train a perdu toute fiabilité" a indiqué Joël Giraud avant d'ajouter "je devais ouvrir en tant que Rapporteur Général le débat à 9h30 à l'Assemblée Nationale sur les orientations budgétaires des finances publiques et n'arriverai même pas pour le clôturer".
Le député des Hautes-Alpes a donc décidé. Il ne prendra ce dernier que s'il est "contraint et forcé" tout en se demandant : "Je ne sais à ce jeu qui va gagner mais je sais qui va perdre, un territoire de plus en plus enclavé, les Hautes-Alpes.
Dans une lettre ouverte adressée aujourd’hui au PDG de la SNCF, le député Joël Giraud assure qu’il ne prendra plus le train de nuit.
“Vous venez de me convaincre de ce que je croyais encore impossible il y a un an : ne plus emprunter le train de nuit Paris-Briançon”, écrit le député à l'attention de Guillaume Pépy. Dans la missive, l’élu haut-alpin dénonce des retards quotidiens de près d’une heure, dans le sens Paris-Briançon. “Plusieurs fois, à la suite des détresses de trains croiseurs, l’arrivée a eu lieu à midi à Briançon”, ajoute-t-il. L’élu pointe “la grève dans la vallée de la Drôme”, qui ciblerait le train. “Je ne sais à ce jeu qui va gagner mais je sais qui va perdre, un territoire de plus en plus enclavé, les Hautes-Alpes”, conclut-il.
TRANSPORT / POLITIQUE / Le train qui a eu trois heures de retard ce jeudi
-Hautes-Alpes-
« Pourquoi je n’emprunterai plus le train de nuit Paris-Briançon », c’est par ces mots que débute un courrier de ce jeudi, signé du député des Hautes-Alpes Joël Giraud pour Guillaume Pépy, président du directoire de la SNCF. Le train qui a eu trois heures de retard ce jeudi. « Je devais ouvrir en tant que Rapporteur Général le débat à 9h30 à l’Assemblée Nationale sur les orientations budgétaires des finances publiques et n’arriverai même pas pour le clôturer » indique Joel Giraud. Il met en cause dans ce courrier la gestion de la SNCF dans le Drôme, avec une grève depuis deux mois « la gestion des incidents sur ce train dans le ressort SNCF de Valence est devenue tellement catastrophique que ce train a perdu toute fiabilité ». Joël Giraud qui termine « je ne sais à ce jeu qui va gagner mais je sais qui va perdre, un territoire de plus en plus enclavé, les Hautes-Alpes.
Le député Joël Giraud, Rapporteur Général du Budget, a accueilli le Président de la République Emmanuel Macron, dans sa circonscription ce mercredi 19 juillet, pour assister à ses côtés à l'arrivée de la 17e étape du Tour de France La Mure - Serre-Chevalier (183 km).
Liesse et convivialité étaient au rendez-vous pour applaudir les sportifs !
Cliquez sur la photo ci-dessous pour voir la video de l'arrivée sous les applaudissements d'Emmanuel Macron et Joël Giraud
Vous pouvez également télécharger ci-dessous la vidéo :