Ce mardi soir, les députés LREM des Hautes-Alpes, Joël Giraud et Pascale Boyer ont été reçus par le ministre de l'agriculture, Jacques Mezard, dans ses locaux à Paris, avec d'autres élus de la majorité présidentielle.
Le dernier numéro de la XIVème législature, de la Lettre de Joël Giraud vient d'être publié.
Vous pouvez la lire en ligne : Téléchargement La lettre de Joël Giraud N°16 - avril 2017
Vous pouvez également demander à la recevoir par mail ([email protected]) ou bien par voie postale.
Nous pouvons également vous faire parvenir les 15 précédents numéros. vous pouvez également les consulter ou les télécharger sur ce blog : http://jgiraud.typepad.fr/jol_giraud/la-lettre-du-d%C3%A9put%C3%A9.html
Bonne lecture !
Voter des lois est un plaisir parlementaire un peu vain si les décrets d’application ne sortent jamais ! La loi Montagne promulguée le 28 décembre dernier ne fera pas partie de ces lois inapplicables : 19 décrets sont en cours de rédaction, certains devant déjà être publiés à la fin mars (concernant la composition du Conseil National de la Montagne et des comités de massif), et la plupart étant prévus pour la fin avril.
Si Joël Giraud se réjouit de voir que le travail se poursuit, le parlementaire est cependant très attentif à ce que les décrets soient pris dans l’esprit dans lequel la loi a été votée. Il peut en effet exister une tentation, pour des ministères, de revenir un peu sur les élans des parlementaires, pour s’orienter dans un sens souhaité par l’administration…
Des échanges ont déjà eu lieu entre services et élu(e)s de la montagne afin que l’esprit des lois soit aussi l’esprit des décrets. Par ailleurs, nombre de décrets bénéficient aujourd’hui d’une phase de consultation du public sur le site du Ministère de l’environnement. Ce sera notamment le cas des décrets concernant l’urbanisme et les unités touristiques nouvelles, dont les consultations s’étendent de la mi-mars à la mi-avril.
Le Conseil National de la Montagne (CNM) aura aussi à donner son avis sur plusieurs décrets. C’est ce qui sera fait donc lors de sa tenue le 20 mars à Bourg d’Oisans, en Isère. Une réunion préparatoire de la Commission Permanente du CNM s’est déroulée la semaine dernière au Ministère de l’aménagement du territoire, de la ruralité et des collectivités territoriales sous la présidence de Joël Giraud. Elle a permis de faire le point sur l’échéancier de la mise en application de la loi de modernisation, de développement et de protection des territoires de montagne et de trouver les compromis nécessaires entre préservation et développement de montagne.
Les décrets en cours de rédaction :
Cette année, marquée par une augmentation de la précarité en France, demande encore plus d’efforts aux 80000 bénévoles du Secours Populaire.
Dans les Hautes Alpes , les actions du Secours Populaire sont facilitées par l’acquisition d’une camionnette flambant neuve, ce qu’est allé constater sur le terrain le député PRG Joël Giraud , qui a consacré 7500 € de sa réserve parlementaire 2016 au parrainage de cette action et a rencontré le secrétaire général de la fédération des Hautes-Alpes du Secours Populaire Gérard Ladoux, bien connu notamment dans l’Embrunais pour son militantisme associatif.
SOCIÉTÉ / La ministre Estelle Grelier était en visite dans les Hautes-Alpes ce jeudi
La ministre Estelle Grelier était en visite dans les Hautes-Alpes ce jeudi. La secrétaire d’Etat s'est rendue à la mission locale "Mission jeunes 05" à Gap pour parrainer la première promotion "Garantie Jeunes". Tous les mois la mission locale propose une promotion d'une quinzaine de jeunes pour arriver à la fin d’année à une centaine de jeunes. Cela fait partie du programme "garantie jeunes" ouvert aux 16-25 ans sans emploi, ni formation. Une première promotion parrainée par deux sociétés de travail intérim Humanis et AXHOM. L'objectif sera d'accompagner ces jeunes en échec dans la recherche d'un emploi.
Ecouter l'interview d la ministre sur :
C'était une journée bien remplie ce jeudi pour Estelle Grelier, la secrétaire d'État chargée des collectivités territoriales. L'occasion de revenir en images sur sa visite dans les Hautes-Alpes :
Arrivare ad offrire un'assistenza sanitaria transfrontaliera, superando barriere linguistiche e normative nazionali, è il cammino comune che hanno scelto di intraprendere l’Asl To3 e i vertici dell'ospedale di Briançon, che presto diventerà un punto di riferimento anche per i pazienti della Val Susa, così come il nosocomio di Susa aprirà le porte alla popolazione del Briançonnais. Il tutto grazie ad un progetto avviato dall'Asl e dalla controparte francese un paio d'anni fa, che proprio in questi giorni ha messo solide gambe grazie ad un finanziamento Alcotra di 670 mila euro: soldi già stanziati dall'Unione europea per quello che è, di fatto, il primo esperimento in tal senso tra Italia e Francia. E, proprio per questo, potrebbe diventare banco di prova anche in vista di una futura legislazione del settore.
«Il primo passo del progetto sarà, attraverso gruppi tecnici di lavoro, studiare le esigenze delle popolazioni separate dalle montagne e valutare quali servizi di eccellenza le due strutture possono offrire alle rispettive controparti sul principio della reciprocità: tanti elementi di attrazione può rappresentare Susa per i pazienti francesi quanti ne può avere l'ospedale di Briançon per la popolazione valsusina», sottolinea Flavio Boraso, direttore generale dell'Asl To3, al termine dell'incontro di stamattina, mercoledì 8 marzo, nei locali dell'Hopital de Briançon. Per Susa, due elementi di attrazione sono già stati individuati nell'ortopedia e nella cardiologia, ma anche altri sono allo studio dei tavoli di lavoro. Briançon, invece, può contare da tempo sulla vicinanza alle località sciistiche dell’Alta Valle, le cui popolazioni sono tradizionali «clienti» del nosocomio al di là delle Alpi.
Se i cittadini della Valle e del Briançonnais dovranno, comunque, attendere ancora qualche tempo prima di rapportarsi come «pazienti europei» a pieno titolo con il servizio sanitario congiunto - che nell'arco di due anni potrebbe arrivare anche allo scambio informatico di referti e cartelle cliniche -, per gli operatori i cambiamenti saranno quasi immediati: «Una prima barriera da abbattere è quella linguistica – sottolineano Boraso e Yann Le Bras, direttore dell'azienda ospedaliera francese -. Ecco perché, fin dalla prima fase del progetto, avvieremo stage e scambi, oltre a corsi di italiano e francese, per abituare medici e infermieri a prendere contatto con i nuovi pazienti. Sono inoltre previsti specifici percorsi formativi per rendere omogenea la preparazione medico-scientifica del personale»