Assemblée nationale

Me connaître

  • Député des Hautes-Alpes membre du groupe RRDP (Radical Républicain Démocrate et Progressiste)
    Joël GIRAUD est membre titulaire du Conseil national pour le développement, l'aménagement et la protection de la montagne (Président de la Commission Permanente du CNM) et membre titulaire du Conseil national du tourisme. Dans le cadre de sa fonction de député, Joël GIRAUD est membre de la Commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire. Il est également Président du groupe d'amitié France Italie, vice - président des groupes d’amitié France Chine et France Suisse et participe en qualité de vice-président aux groupes d’études aménagement du territoire, climatisme et thermalisme, politique de l’eau, en qualité de secrétaire aux groupes d’études montagne et question du Tibet et en qualité de membre aux groupes d’études économie sociale et solidaire, langues régionales, parcs nationaux et régionaux, tourisme trufficulture et zones et travailleurs frontaliers.

Rechercher sur le site

août 2017

lun. mar. mer. jeu. ven. sam. dim.
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30 31      

« PROPOSITION DE LOI visant à renforcer la prévention contre le VIH et les hépatites et à permettre un meilleur accompagnement des malades | Accueil | Je suis intervenu le mardi 29 janvier dans la discussion générale à l'Assemblée Nationale sur la proposition de loi visant à renforcer la coopération transfrontalière »

15 janvier 2008

Commentaires

électeur déçu

autant pour moi, je vérifierai mes informations la prochaine fois!

Joël GIRAUD

Précision :
comme annoncé, je me suis abstenu au Congrès de Versailles le 04/02 concernant la modification de la constitution et j'ai voté contre la ratification du traité simplifié le 08 02

électeur déçu

Vous vous êtes abstenu, lors de la ratification du traité de Lisbonne, contrairement à vos engagements....

BOUCHE David

La gauche française s'est quand même un peu piégée toute seule avec le traité de Lisbonne. L'omniprésident Sarkozy n'a eu qu'à regarder et laisser se tirer dessus à boulets rouges les éléphants du PS sur ce thème. Le PRG ne s'est pas trop manifesté, ou on ne lui a pas trop tendu les micros....
La base électorale dit non, mais les officionados disent oui... c'est la schizophrénie qui se renouvelle. A quand une voix unique dans la gauche pour se faire entendre ? M. le député, faites entendre VOTRE voix !

Xavier Malby

Communiqué de la FELCO
Après le débat à l’Assemblée Nationale
sur les Langues de France du 15 janvier

La FELCO a suivi avec beaucoup d'attention le débat sur les langues de France qui a eu lieu le 15 janvier, à l’Assemblée Nationale, dans le cadre de la discussion sur la réforme constitutionnelle.
Deux amendements étaient soumis au vote, l'un, émanant du P.S. et proposant un remaniement de l'article 2, l'autre émanant de l'U.M.P. et concernant, lui, l'article 53.

La FELCO déplore qu'une fois de plus le gouvernement ait choisi de faire rejeter ces deux amendements.

Elle constate cependant deux faits :

* Si peu convaincantes qu'elles aient été, les réponses du rapporteur et de la Garde des Sceaux sont cependant moins consternantes que celles auxquelles leurs divers prédécesseurs nous avaient habitués.

* Nous prenons acte de la promesse de prendre enfin, plus tard, la question en considération, promesse reprenant d'ailleurs celle faite en son temps, durant la campagne, par le président de la République.

La FELCO sera très vigilante dans les mois qui viennent, dans l'attente de la mise à l'ordre du jour, enfin, d'un texte législatif faisant aux langues de France, en particulier l'occitan, la place qu'elles méritent.

Et elle ne manquera pas de rester en contact avec les élus, de toute tendance, qui se sont manifestés, au cours de ce débat ou au cours des précédents, pour réclamer un tel texte.

Nous saluons tout particulièrement les signataires des amendements 12 et 13, ainsi que ceux qui les ont défendus et votés dans la séance du 15 janvier, alors même que le gouvernement, dans la façon dont il envisageait le déroulement des débats, n'entendait de toute évidence pas leur laisser beaucoup de place.

Le présent échec, par conséquent, loin de nous décourager, nous incite à poursuivre le travail avec des élus, pour déboucher enfin sur une solution satisfaisante, propre à garantir aux langues de France un statut digne dans la République.
________________________________
Xavier Malby, co-secrétaire de la F.E.L.C.O.
Fédération des Enseignants de Langue et Culture Occitanes

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.